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Non mais je t'assure

Les dégouts les couleurs ça se discute pas, mais cette zique est franchement caviar (pour citer un ami de gauche).

real american

Je sort tout tremblant d'une session de huit heures, j'ai éjaculé 5 fois sur le clavier en fumant 30 clopes. Depuis le temps que je voulais un vrai jeu de strat.
Aha ! flanc gauche flanc droit/fait voler les archers à coup de cavalerie et monte des encernements de piquers à gogo §§ Rien à voir avec tout ces warcaft pourris au gameplay de playmobil cliqueur fou, ça fait du bien de reflechir.
Bon sinon je concede que la partie tour par tour me faichié (un peu), mais les bastons sont monumentales. En plus c'est vachement joli, graphismes mais aussi esthetique avec toutes ces unités en grand balets d'opera boucher. Ma technique dite "du poulpe" notamment, ou je sceinde mon armée en deux pour en gober une qui charge en rang sérrés, c'est très classe.

Jules d'en face est déjà sur l'affaire http://blogs.nofrag.com/Vincexxx/#article23980

Je suis inscrit mais je n'ai pas la moindre idée pour lequel de ces fieffés fils de putes je vais voter, je les méprise tous.
A la rigueur j'aurais voté Jospin -la politique devrait rester une affaire de gens ternes et chiants- en tout cas en tant que futur pauvre ça sera pas à droite.

Ah ouais, au milieu d'une montagne de trucs recherchés mais trop spaces et incertains pour foutre le tricot, ce morceau va droit au but et tue bien la gueule.

Bah elle a fait quelques bons trucs, mais en tout cas t'es un sans boules.

Oui.

Après aimer le metal me parait un bon début, y'a pas de miracle. Et ce morceau faut l'écouter en entier, le final est grandiose.

Ca troue le fion, il doit dépasser les 100 km/h quand il frole la bonne pierre froide qui fracasse la gueule.

Et sans e brut.

Toi t'es un bot, tu sors le chien et tu paye tes impots toute les nuits.

Bon bah c'est rigolo ce rêve, mais moi je suis carrement dans la matrix: je fais un rêve dans lequel je me reveille et me retrouve dans un rêve mais qui prend la place de la réalité, qui elle s'évapore...Comme un rêve. (Dur à expliquer hein) Et quand je rêve...Dans ce rêve, je retourne dans la réalité, que j'identifie maintenant comme étant....Un rëve. Trapped dans la cinquème dimension quoi.

Concernant le décors je me retrouve dans une pension scolaire qui ressemble à un truc du seigneur des anneaux, putain de sublime à crever tellement elle fourmille de détails. Au loin dans la vallée j'aperçois un village tout ce qu'il y a de plus normal, comme le mirage de la précédente réalité.

Et comme les dirigeants de la pension sont des mystiques d'un genre spécial, je décide de m'évader. Cependant je découvre qu'un ami, lui même arrivé ici via morphée comme tout le monde ici hormis les autorités, est sauvagement torturé dans le sous sol de la pension par un nouveau venu; un pretre tortionnaire avec un masque de chat géant en or. J'observe tout ça caché mais je ne peut rien faire car il est solidement enfferré, et tout les autre pensionnaires sont des vils couards qui refusent de m'aider et dont la précedente réalité s'est dissolue dans celle ci.
Je fomente donc un plan d'évasion, inspectant les lieux, et un fois la nuit venue je rêve et retourne donc dans la réalité, j'y chope au passage une scie à métaux que je parviens à faire passer au réveil.
Re metal gear solid jusqu'à la salle des torture (qui est en fait une sorte de sauna médieval habité de forces magiques et qui produit de l'electrecité), Je vais donc pour liberer mon ami de ses fers avec ma scie à métaux orange qui ressemble à rien en ces lieux, mais quand j'arrive c'est precisemment le quart d'heure torture. J'y assiste impuissant planqué derrière une poutre du toit (je suis super agile même si je comprend pas pourquoi y'a des poutres au sous sol), et une fois fini Onoooz, mon ami qui ne semblait plus trop réactif depuis quelques jours est à present baisé de la tête, car ils le détachent et semblent l'accepter parmi les leurs avec une petite phrase à la con genre "un nouveau evilz demon est né".
Dépité je m'enfui tout seul, gravissant murs zé remparts, courant à travers la vallée jusqu'au village "normal". Une fois là bas je me retourne: il n'y a aucun batiment visible, la pension a disparue. L'influence du village normal m'endort pour retourner dans la réalité, et chose amusante c'est là que je me reveille.