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NiarkNiark a écrit:

Antipathique. a écrit:

et normalement à moins d'être psychopathe,

17 ans et

Arrêtés de nombreuses fois pour des faits similaires (vol de voiture, conduite sans permis, refus d'obtempérer...), avec déjà un passage en prison,

Tu vis dans quel monde Anti ?

Ben éclaire moi, mon bon niark, faut 10 ans de taule ? On en fait quoi il sort ?

Quel pourrait bien être la solution pour que ce jeune homme ne récidive pas ??? Sans doute 50 ans de prison n'est ce pas bidule ?

Ah et j'ai un frère qui habite à deux rues de la prison de Fresnes et à part quelques rares mortiers d'artifice il se passe pas grand chose non plus

on remet la filière en marche si c'est encore possible et on rend cette conne inéligible

Je comprends pas ton ironie.

. Y a un documentaire qui atteste, de l'aveu même de la principale concernée, qu'elle a participé au sabotage de la filière nucléaire francaise.

Au sein de la boîte de production Doc en stock, qui a transmis l’intégralité du documentaire à CheckNews, le producteur Emmanuel Leconte dénonce d’ailleurs un «montage mensonger» et une «phrase tronquée». La phrase «Au moment où nous définissions pour la première fois les technologies qui pourraient être utilisées dans le cadre des mécanismes du développement propre», prononcée par Dominique Voynet et qui précise le contexte, n’apparaît pas dans la vidéo diffusée sur Twitter. Or, ces mots seuls permettent de comprendre ce qui se joue alors, dans cette négociation.

Joint par CheckNews, l’économiste du Centre international de recherche sur l’environnement (Cired) Jean-Charles Hourcade, qui accompagnait la délégation française à La Haye en 2000 (et qui intervient dans le documentaire) considère ainsi que «le procès qui est fait [à Dominique Voynet]est faux» puisque le mécanisme de développement propre ne concernait nullement pas le développement du parc nucléaire en France.

Son collègue Christophe Cassen, ingénieur de recherche au Cired, estime aussi que les attaques contre Dominique Voynet sont «complètement décontextualisées». Certains de ses détracteurs se fient à l’extrait vidéo pour l’accuser de la situation française actuelle. «L’argument ne tient pas. Les problèmes actuels que connaît le parc nucléaire ne sont pas liés à cette décision», affirme le chercheur.