FROTTE SALOPE
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Le Vrai Asile » Messages de Mamouth
FROTTE SALOPE
Bonjour,
Esse que la maréchaussée dispose d'une force marémotrice ?
Clt
"SOURIS MICHEL !"
2 billets AR pour la Malaisie.
[video]http://www.youtube.com/watch?v=fCMWHb7w … re=related[/video]
[video]http://www.youtube.com/watch?v=lXIli9Xv … re=related[/video]
[video]http://www.youtube.com/watch?v=nfOuAmkL … ure=relmfu[/video]
[video]http://www.youtube.com/watch?v=dodOGBLE … ure=relmfu[/video]
J'ai beaucoup aimé la prestation de Marion Cotillard.
L'image est belle.
Paintball dans la boue.
Le lien est un début de réponse concise. Ta question en début de thread est vaseuse et je ne vois pas par quel bout répondre, donc je te file le lien de la description des 4 types de réaction d'hypersensibilité, bien résumées.
Recherche google vite fait qui explique la classification des réactions d'hypersensibilité : http://www.ciriha.org/fr/classification … oombs.html
Si tu es vraiment curieux de la manière dont ça fonctionne, empreinte un bouquin d'immunologie pour piger en gros le fonctionnement du système immunitaire.
C'est pour faire perdre ton temps/argent et pas le sien quand quelqu'un ne se présente pas à un rdv. C'est comme l'overbooking pour les avions.
C'est très intelligent.
TROY CHAUVE OUI OUI
ET EN PASSANT VEUILLEZ ALLER VOUS FAIRE ENCULER SVP
Moi j'ai des souvenirs de Maths, de svt (une histoire de skieur sur un tirefesse), de la chimie moleculaire, et des putains de sciences humaines et sociales indigeste...
Bref, rien d'utile au quotidien pour un medecin.
Les notions de transfert et contre transfert en sciences humaines. Math et svt servent moins mais ne sont pas méchants. Biochimie si tu veux biter 4 secondes de cours sur le cycle de krebs ou l'hème.
Le reste des matières sont encore plus importantes. Exemple : anatomie ou génétique.
Après tu dis peut être ça parce que tu n'es pas allé plus loin que la première année, je ne sais pas. Mais après c'est 3 fois pire : tu te tappe chaque putain de fiche détaillée sur chaque putain de bactérie, avec les antibiotherapies croisées par exemple. Tu peux te dire que ça ne te servira à rien pour plus tard, mais le jour où t'es à la bourre et que t'as à faire à 3 bactéries résistantes au schéma classique d'antibiotherapie, tu fais de la merde.
La premiere annee de medecine, c'est la selection par les sciences : rien de ce que tu apprends en premiere annee ne te servira en tant que medecin, mais c'est tellement plus simple de différencier 1500 candidats sur des équations différentielles et des réactions chimiques que sur une étude de cas clinique...
Cependant; rares sont ceux qui réussissent sans passer par une "écurie", qui va apprendre à l'élève les 'trucs' pour réussir. Il y a donc une partie bachotage indéniable, mais je rejoins nassos : le dernier des cons ne passera pas
- J'ai des souvenirs de génétique, de sciences humaines, d'histologie, d'embryologie, de biologie cellulaire, d'anatomie, de biochimie etc. Et ils me servent. Pas en pratique, mais dès que tu dois comprendre quelque chose de nouveau, les bases bien dures sont nécessaires.
- Les prépas c'est de la daube, rien ne vaux 2-3 bonnes personnes qui viennent de passer le concours et qui t'indiquent/t'entrainent/te motivent avec leurs tuyaux 1 fois par semaine, le reste du temps --> boulot. La prépa par des profs ratés qui te font payer 800 boules pour plein d'heures de cours par semaine et des polys watermarkés c'est une belle pigeonnerie : maintenant la plupart des cours sont dispo sur internet, il suffit des les apprendre et de les oublier 15 fois d'affilée sur quelques mois pour s'en rappeler -comme d'un souvenir de victime de viol en réunion- pendant au moins 6 mois, et de se tester avec 150 QCM par jour. Prepas = perte de temps d'apprentissage.
Donc si tu prends 1000 gosses de n'importe quel horizon, tu les fous au meme endroit, meme environnement, memes cours, tu auras des genies ?
J'ai du mal a le croire. Ca depend egalement de ton cerveau, taille des differentes parties, nombre de connexions, etc. Malheureusement, nous ne sommes pas tous egaux.
Ça dépend aussi et surtout de l'état d'esprit, du vécu et du but dans la vie.
Si quelqu'un est motivé et qu'il bosse sans compter pendant une durée bien longue, dans de bonnes conditions : sa rapidité d'apprentissage, de raisonnement et son champ de connaissance vont augmenter exponentiellement.
Après, à partir de quel seuil ça colle à ta définition de génie ?
Attendez je ponds ma crotte.
[ninja]Les adjuvants vaccinaux
Que sait-on des adjuvants aluminiques ?
1° Nature et propriétés physico-chimiques de l’aluminium des adjuvants
Les adjuvants vaccinaux aluminiques sont les plus utilisés depuis leur découverte par Glenny en 1926. Ils sont en effet considérés comme très efficaces et bien tolérés au regard des milliards d’injections pratiquées depuis plus de 80 ans dans le monde.
Leur mécanisme d’action repose sur leur effet de dépôt au site d’injection. Un relargage progressif de l’antigène vaccinal se produit (80 % des antigènes protéiques sont relâchés dans les heures qui suivent l’injection). Les sels d’aluminium induisent la différenciation des macrophages en cellules dendritiques et produisent des réponses anticorps Th2. Le site d’injection doit être de préférence intra-musculaire car les réponses immunitaires et la tolérance locale sont meilleures que pour la voie sous-cutanée.
- Une structure très particulière
L’hydroxyde d’aluminium, AlOOH, a une structure cristalline. L’hydroxyphosphate a une structure amorphe. L’hydroxyde d’aluminium utilisé est de type Boehmite (issu de la bauxite). Il se présente sous la forme de feuillets d’aluminium octaédrique qui se réarrangent en plaquettes plus ou moins bien ordonnées qui forment des agrégats de densité variable.
Les agrégats sont fortement liés par des liaisons hydrogène et leur dissolution n’est possible qu’à pH2, qui n’est pas un pH physiologique : il n’y a donc pas de possibilité à l’état physiologique pour une production de nanoparticules.
- Adsorption des antigènes vaccinaux
L’adsorption des antigènes vaccinaux dépend, d’une part, de la charge de surface et de la taille moléculaire de l’antigène ; d’autre part, de la texture de l’adjuvant : encombrements stériques, accessibilité aux sites de liaison. Cette texture connaît de grandes variations selon l’encombrement stérique et les sites de liaison disponibles en surface.
2° Evolution et cinétique de l’aluminium des adjuvants chez l’homme
- Origines de l’aluminium
L’aluminium n’est pas un composant minéral de l’organisme humain et sa présence est toujours d’origine exogène. L’exposition à l’aluminium provient essentiellement des aliments, de l’eau de consommation, parfois d’une exposition accidentelle ou professionnelle et de médicaments tels que certains protecteurs gastriques, des onguents et les adjuvants vaccinaux aluminiques.
Après ingestion d’aluminium marqué chez des hommes volontaires sains, plus de la moitié de l’aluminium quitte le secteur sanguin après 15 minutes, et il en reste moins de 1% après deux jours. L’excrétion est urinaire pour 80% et fécale pour 1%. La rétention d’Al 26 est de 4% au jour 1178 de cette étude (Priest 1996).
- Cinétique de l’aluminium des adjuvants vaccinaux après injection intramusculaire
Après injection vaccinale IM l’hydroxyde d’aluminium se dissout très lentement dans le tissu interstitiel tandis que le phosphate d’aluminium se dissout beaucoup plus rapidement, en raison d’une morphologie différente. La FDA américaine fixe à moins de 0,85 mg la quantité autorisée d’aluminium pour les adjuvants vaccinaux. La dose étant très faible on ne peut pas repérer des changements de concentrations sanguines, urinaires ou tissulaires à la suite d’un seul vaccin. On ne peut pas détecter les très petites quantités d’aluminium résiduel non excrété et persistant, en particulier dans le tissu osseux et, en très petites quantités, dans le cerveau humain.
Une étude expérimentale avec l’Al marqué avec les adjuvants sert donc de modèle pour les adjuvants aluminiques
En 1997 Flarend et al. ont injecté à des lapins l’un de deux adjuvants vaccinaux, hydroxyde et phosphate marqués à l’aluminium 26, à la dose de 0,85 mg par voie IM..
Les deux adjuvants ont la même distribution tissulaire et la concentration d’Al26 va en décroissant : rein> rate> foie> cœur> ganglions> cerveau, l’augmentation de la concentration sanguine était de 2 ng/ml Al ml-1 pour les deux adjuvants.
On en tire des conclusions précises :
Chez l’homme une dose de 0,85mg par voie IM produirait théoriquement une augmentation plasmatique de 0,04 ng ml-1 d’aluminium, soit 0,8% de la concentration de l’aluminium sanguin. Ces auteurs concluent qu’il est peu probable que l’aluminium apporté par les vaccins ait une influence. Ils suggèrent qu’une telle étude pourrait se faire sans risque avec l’Al 26 chez l’homme.
Ce travail, unique à ce jour, va servir à la modélisation pour la pharmacocinétique des adjuvants.
3° Un rappel important sur la toxicologie de l’aluminium
Valeurs toxicologiques de référence(VTR) pour l’aluminium
Les VTR sont le plus souvent établies par des organismes qualifiés et selon des procédures rigoureuses et elles varient selon la voie ou la durée d’exposition ainsi qu’en fonction des effets de l’aluminium sur tel ou tel organe (rapport Invs). Le questionnement sur la toxicité neurologique a suscité des travaux sur le devenir de l’aluminium et une approche plus précise de normes de sécurité.
Il a donc été proposé de déterminer un niveau de sécurité pour l’aluminium en fixant un taux de 0,85 mg d’aluminium par dose de vaccin. Pour l’alimentation orale l’Agence des substances toxiques du CdC américain d’Atlanta (ATDSR) a étudié puis défini un taux minimal de risque (MRL : minimal risk level), qui tient compte exclusivement du risque de neurotoxicité. Ce taux a été fixé à partir de l’expérimentation animale et extrapolé ensuite à l’homme à l’aide de facteurs de correction. Il a été fixé à 1 mg d’Al par Kg et par jour (ATDSR).
Deux études concernant la cinétique de l’aluminium vaccinal chez le nourrisson.
La première, par Keith et al, évalue par simulation la cinétique de l’Al chez le nourrisson de 0 à 12 mois. Sur la courbe établie en fonction de son âge et de son poids les taux d’Al d’origine alimentaire (allaitement et/ou alimentation artificielle) demeurent très inférieurs à la MRL. Les vaccins du calendrier vaccinal produisent des pics à chaque injection mais se situent toujours au-dessous ou juste au-dessus de la dose toxique minimale. Dans tous les cas la courbe de l’aluminium vaccinal rejoint la ligne basale en 1 à 3 jours après la vaccination. Ce taux post-vaccinal est de l’ordre de 0,1 mg Al, bien plus bas que les 4 mg, taux estimé pour une dose toxique minimale (0 à 60 mois) [keith]
La deuxième de Mitkus et al a tenu compte de la maturation rénale du nourrisson. Ils utilisent les données de l’expérience de Flarend en 1997. Pour eux, la charge corporelle en aluminium apportée par les vaccins est inférieure de 50% au taux de sécurité orale, tant pour l’hydroxyde que pour le phosphate d’aluminium quel que soit l’âge. Tout en soulignant les limites des travaux chez l’animal, ces auteurs estiment que les vaccins injectés aux nourrissons et prévus par le calendrier vaccinal ont un risque très inférieur à la dose de sécurité minimale actuellement définie pour l’alimentation des nourrissons.
4. Neuro-toxicité de l’aluminium
On a redouté la toxicité de l’aluminium des adjuvants vaccinaux, car ils sont introduits par la voie intramusculaire. L’équipe de chercheurs français étudiant la MFM a rapporté en 2009, sur de courtes séries comparatives, des troubles des fonctions cognitives chez les malades ayant une MFM, l’hypothèse invoquée étant celle d’une atteinte neurologique en partie due à l’aluminium [couette].
Cette neurotoxicité est surtout redoutée depuis la constatation d’encéphalopathies chez des insuffisants rénaux hémodialysés et chez des travailleurs de l’industrie de l’aluminium. On a étudié activement la relation possible entre l’aluminium et des maladies neurologiques chroniques, en particulier la maladie d’Alzheimer. L’eau de boisson a été suspectée dans certaines régions mais les études publiées ne sont pas probantes, d’après l’analyse des publications faites lors de l’expertise collective par l’Institut de la veille sanitaire, l’Afssa et l’Afssaps (rapport).
Selon les conclusions du rapport de l’InVS 2003 :
« ..il est difficile d’établir si les résultats neuro-histopathologiques supportent réellement l’idée d’une association à caractère causal entre l’aluminium et la maladie d’Alzheimer. Même si l’aluminium s’intègre réellement aux dégénérescences neurofibrillaires comme cela semble se dégager après 20 années de recherches aux résultats contradictoires, dans quelle mesure joue t-il un rôle dans l’étiologie ou la pathogenèse de la maladie d’Alzheimer pour laquelle la plaque sénile semble jouer un rôle plus important ? Au vu de cette accumulation qui demeure néanmoins peu marquée, il est peu probable qu’elle permette à elle seule l’apparition de la maladie. »
La quantité d’aluminium introduite par une vaccination dans l’organisme reste très faible au regard des autres sources quotidiennes et l’élimination est très forte et prolongée dans le tissu interstitiel.
(Flarend, Linblad).
ANNEXES
Extraits du Rapport de l’InVS 2003
Tous les aliments d'origine végétale ou animale contiennent de l'aluminium.
Les enquêtes de consommation réalisées à travers le monde montrent que l'apport en aluminium lié aux denrées alimentaires (à l'exclusion de l'eau de boisson) se situe majoritairement entre 5 et 12 mg/j soit entre 8 à 20% de la dose journalière tolérable (DJT). Cette DJT, fixée par l'OMS est de 60 mg/j pour un adulte de 60 kg . En France, en l'état actuel des données disponibles, l'apport moyen lié aux denrées alimentaires est de 2 à 2,8 mg/j pour la population adulte et environ 1,80 mg/j pour les enfants de 3 à 14 ans ce qui représente respectivement de l'ordre de 4,1 % et 6,4% de la DJT.
Compte tenu de l'absence d'aliment vecteur majeur, il n'y a pas de groupes de consommateurs à risque particuliers.
Compte tenu des difficultés d'analyse et du fait que la spéciation de l'aluminium dans l’aliment est probablement très largement modifiée au cours du transit dans le tractus digestif, toutes les études réalisées à ce jour ne présentent que des teneurs en aluminium total. L'estimation des apports en aluminium par les additifs peut être considérée en France comme négligeable.
Les apports liés à la migration de l'aluminium à partir des emballages, des ustensiles et des conditionnements des boissons ont été estimés et dans un scénario d'exposition très maximaliste, ils représenteraient une augmentation de 4 à 13 mg/j soit une contribution supplémentaire à la DJT de 6 % à 22 %.
La situation de l'exposition alimentaire à l'aluminium de personnes non exposées professionnellement n’est pas jugée préoccupante.
Conclusions sur « cinétique et métabolisme de l’aluminium » (InVS 2003)
Du fait de la multiplicité des voies d’absorption (orale, respiratoire et cutanée) et du caractère ubiquitaire de l’aluminium dans l’environnement, l’être humain est en contact permanent avec cet élément.
La contribution des différentes voies à la quantité finale reçue par l’organisme dépend des quantités externes apportées par chacune de ces voies et de leurs coefficients d’absorption respectifs. Pour comprendre l’impact des différents types d’apports aux effets toxiques de l’aluminium, il convient au préalable de bien connaître la cinétique et le métabolisme de celui-ci, considérablement influencés par ses caractères physico-chimiques, sa capacité à la spéciation et ses paramètres métaboliques.
La plupart des auteurs considèrent la voie respiratoire comme négligeable en population générale, principalement en raison de la présence très faible d’aluminium dans l’air ambiant.
Par ingestion, l’absorption de l’aluminium est influencée par de nombreux facteurs - pH, spéciation, effet matrice, facteurs physiologiques et pathologiques - et est généralement inférieure à 1%. Au vu des données analysées, même si les coefficients d’absorption pourraient différer selon que l’aluminium provienne de l’eau, des aliments ou des produits de santé (pansements gastriques et médicaments anti-acides à base d’aluminium), ils restent dans une fourchette de 0,1 à 1%, avec un facteur 10 à 100 fois plus faible pour les médicaments anti-acides.
Le passage transcutané de l’aluminium, bien qu’il semble faible, est avéré : les études disponibles sont peu nombreuses et son évaluation se heurte à l’absence d’une méthode normalisée.
Dans le sang, l’aluminium se retrouve majoritairement dans la fraction plasmatique, lié de façon préférentielle à la transferrine (80%), mais également à l’albumine (10%) et à des protéines de bas poids moléculaire, formes de transport qui vont favoriser son stockage vers des organes préférentiels.
Il a été montré chez l’animal que l’aluminium se répartit largement dans tout l’organisme avec cependant, un tropisme préférentiel pour l’os et qu’il franchit les barrières foeto-placentaire et hémato-encéphalique. Chez l’homme, la charge naturelle en aluminium se distribue de façon majoritaire entre le système osseux, les poumons, le foie et de façon minoritaire au niveau du système nerveux central. d’aluminium radioactif témoignent de l’existence d’un cycle entéro-hépatique.
Les reins constituent l’émonctoire principal de la fraction de l’aluminium effectivement absorbée et à l’arrêt de l’exposition, la cinétique de décroissance de la concentration urinaire est triphasique. Les faibles concentrations d’aluminium retrouvées dans les fécès après administration intraveineuse
Les connaissances sur la cinétique (demi-vie) et la distribution de l’aluminium dans l’organisme demeurent insuffisantes à ce jour pour clarifier la signification des dosages de l’aluminium dans les liquides et tissus biologiques en tant que marqueurs d’expositions récentes, chroniques ou de la charge corporelle.
[/ninja]
Et t'as l'air déjà autiste, un vaccin en plus ça ne va pas changer grand chose.
Ta mère est une conne.
Recommandation n°3
La proposition d’un moratoire sur l’aluminium utilisé comme adjuvant n’est pas fondée sur des arguments
scientifiques étayés. Le risque de myofasciite n’a pas été confirmé par des études épidémiologiques à grande
échelle en ce qui concerne les manifestations cliniques chroniques. L’hypothèse de conséquences neuro-
dégénératives du passage de l’aluminium dans le cerveau repose essentiellement sur la détection de très
faibles concentrations d’aluminium dans le cerveau chez des animaux ayant reçu expérimentalement un
vaccin en contenant. Mais, ces concentrations sont beaucoup plus faibles que celles observées chez l’homme
dans de nombreuses autres circonstances pour lesquelles aucun risque d’encéphalopathies n’a été évoqué et,
en tout état de cause, il n’y a pas de données précliniques ou cliniques soutenant ce risque (3,4).
Il serait dommageable qu’en l’absence d’alerte clinique avérée, la France soit le seul pays à prendre le risque
de diminuer la protection vaccinale des nourrissons et des enfants. L’interdiction, même temporaire
(moratoire), des vaccins contenant de l’aluminium conduirait de fait à interdire la majorité des vaccins
actuels. Elle créerait en outre un état de défiance majeure vis-à-vis des vaccins qui aurait des conséquences
considérables de santé publique.
Le problème que l’on peut soulever concernant l’aluminium n’est pas tant celui de ses effets secondaires que
de l'insuffisance de son efficacité pour beaucoup de vaccins.Il faut donc certainement encourager la recherche de nouveaux adjuvants, qui est effectivement en cours
dans de nombreuses sociétés pharmaceutiques, mais pas pour les raisons évoquées dans les
recommandations.
Quant au phosphate de calcium, il mériterait d’être mieux étudié car les publications disponibles sont
anciennes et très parcellaires.
Il n'y a pas de normalité, il y a plein d'opérations différentes (durée, localisation), et plein de situations différentes : contexte urgent, pas de connaissance du patient --> questions sur la consommation si terrain ; OU contexte posé, prévu, le chirurgien + l'anesthésiste + le médecin traitant ont fait déjà le tour et on ne demande pas à pépé si il se pique en plus de sa benzodiazépine.
Il y a aussi le cas patlow, où on s'en branle et on rigole de ses petites couilles quand il ronfle.
Coucou, bon pour ce que j'en sais l'anesthésiste te demande ce que tu as pris car :
- interactions médicamenteuses oui mais le délai joue, si t'as pris de l'extasy il y a 15 jours il y a de fortes chances que ton rein et ton foie aient viré 99% de cette merde. Après il reste des résidus dans tes cheveux et tes poils de cul mais on s'en branle total. Je ne suis pas sûr qu'avec la liste que tu lui a donné il ai changé quelque chose (à part la dose) : on connait certaines interactions mortelles ou très problématiques entre certaines substances qui utilisent le même transporteur plasmatique mais pour ce qui est des drogues je demanderai.
- On en vient au second point : il a tâté le terrain surtout pour savoir si il fallait te charger comme une mule ou juste te donner une petite fessée pour dormir, le tout en fonction de l'état de tes reins.
Quand t'as un lourd passé d'alcoolique et/ou de toxico ta tolérance est au plafond. Ainsi l'anesthésiste -pour éviter que tu te réveille pendant que les 3 golios manipulent ton colon et rigolent d'une blague de cul- décide de bien te remplir d'hypnovel avant le curare.
putain mais PUTAIN
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