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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

Dr Adder de Jeter :

http://www.google.fr/url?source=imglanding&ct=img&q=http://media.biblys.fr/book/10/50010.jpg&sa=X&ei=-H9TVbWfA8uuUffYgMAC&ved=0CAkQ8wc&usg=AFQjCNHp0YNAKAAoXCTmvvw4cpRMDNmU7Q

On en parle souvent comme du premier roman Cyberpunk (avec Neuromancien) mais l'auteur est très critique à propos de cette appellation. Il est fini en 1972, publié dix ans plus tard, un peu parce que K. Dick va faire du lobbying pour que ça arrive.

C'est excellent, exagérément violent, cru, sans trop d'espoir.

10 bites sur 10.
Jette toi dessus, pute vierge.

Voici le pitch :

L.A. est partagé entre d'un côté la Zone-Rat, où échouent les marginaux et les membres du Front de libération, et de l'autre le comté d'Orange, repaire des nantis drogués à leur poste de télévision. Entre les deux, l'Interface, zone neutre où déambulent les putes modelées selon les désirs et pulsions secrètes des clients par le bistouri du Dr Adder, idolâtré par certains, voué aux gémonies par d'autres.

E. Allen Limmit a quitté son Phoenix natal et son Unité de ponte pour vivre lui aussi la grande aventure de L.A. Poussé à rencontrer le fameux chirurgien, il ne se doute pas qu'il va être pris entre les feux croisés du docteur et ceux de son ennemi juré, John Mox, télévangéliste à la tête de l'armée des Forces morales au sein d'une ville à l'âme aussi vérolée que désespérée…

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(36 réponses, dans Questions / Réponses)

Pour du débit fibre, va falloir s'en coller partout des pastilles, c'est quand même problématique.

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(8 102 réponses, dans Jeux)

Tu veux pas un lien hypertexte, plutôt ?

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(446 réponses, dans Jeux)

Loner a écrit:

Total War ne tient pas la comparaison ?

En terme de stratégie, c'est clair. Le seul truc qui reste à TW, c'est la possibilité de faire soi-même les batailles (contre une IA complètement fantaisiste).

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(446 réponses, dans Jeux)

http://uppix.com/t-eu4_map_ITA_18215550d1c40018ea3a.png

Fin de partie en Ironman avec Milan, représenté en vert sur la carte (parce que formation de l'Italie). c'était beaucoup plus facile que ce à quoi je m'attendais. Très content du déroulement, même si quelques petites choses m'agacent atrocement, comme les deux territoires français au milieu de ma botte. Mais j'ai pris en compte l'ampleur de la France bien trop tard : l'attaquer, c'était me suicider. Aussi, j'ai commencé beaucoup trop tard l'extension en Afrique et, du coup, je n'ai que Tunis sous mon contrôle en 1820.

Je recommande chaudement les Milanais pour celui qui veut tâter du régime républicain avec son système de vote et de dirigeant imbattable (en se débrouillant bien, on arrive presque toujours à avoir un mec avec 6/6/6 dans ses stats). Gaffe à bien se renseigner sur ce système parce que après l'évent pour devenir une république, on ne peut pas revenir dessus "manuellement". Il faudra, pour redevenir une monarchie, faire baisser sa tradition républicaine à zéro pour ensuite changer de régime (et se taper un premier roi avec une légitimité de 0...).

En vrac, les points qui me semblent important :

- l'alliance avec la France : elle permet à peu près tout. Surtout, elle t'assures de ne pas avoir l'empereur qui te casse les couilles dès que tu t'étends dans le SERG au tout début du jeu. Elle te protège aussi des vues de la Bourgogne.
- L'alliance avec la République des Deux Nations (la réunion de la Pologne et de la Lituanie, si elle se fait), essentielle si tu veux aller du côté Ottoman.
- Dès que possible, récupérer Gène et son nœud commercial complètement fumé.
- Récupérer Venise et l'autre nœud commercial complètement fumé.
- Avec tout cet argent, spammer les bâtiments militaires qui font monter la limite des troupes : le problème de Milan, c'est que tu alignes peu d'hommes sur le champs de bataille, au début. En fin de partie, j'avais 150-170k de trouffions se baladant.
- Avec tout cet argent, spammer les galères et se faire une flotte monstrueuse en Méditerranée : elle servira contre un peu tout le monde (Venise, Ottoman, Aragon et Castille).

Prochaine étape, les États pontificaux, Unam Sanctam et la guerre sainte.

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(29 750 réponses, dans Liens à la con)

http://www.interspecs.com/images/BioshieldWiFi.jpg

Sphère de résonance EMF-Bioshield®WiFi (75mm) pour appartement ou maison. Champ de protection: 20 mètres de diamètre..

400 boules le bout de plastoc.

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(29 750 réponses, dans Liens à la con)

Oh con

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(29 750 réponses, dans Liens à la con)

Oulala, vous savez on ne résout rien avec la violence !

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(4 850 réponses, dans Le coin du spoiler)

Antipathique. a écrit:

Ben je dois être HOMO aussi parce que j'ai bien aimé.

Antipathique. a écrit:

C'est bien le seul film où j'ai apprécié Scarlette, le fait de pas voir sa gueule y est pour beaucoup.

Ca va pas être facile à annoncer à ta copine.

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(507 réponses, dans Culture & médias)

Y la série des Grand Art pour se (re)mettre un peu à l'histoire de l'art sans trop s'emmerder : http://www.arte.tv/fr/grand-art/2469020.html
Le traitement des doc est particulier et la voix off assez agréable à suivre.

Bon ça touche presque uniquement la Renaissance pour l'instant (Titien, Michel-Ange, Giorgone.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

LeChat a écrit:

Mais vu la délicatesse de ta demande

Faut que je te suce la bite en prime pour que t’arrêtes de poster des liens à longueur de journée sans rien dire de plus ? PARCE QUE JE SUIS PRET À LE FAIRE POUR QUE T'ARRETES

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

Ça t'écorcherai la gueule d'écrire trois lignes en plus pour nous donner quelque chose, un avis ?
Putain entre ça et les liens...

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(2 139 réponses, dans Culture & médias)

rain a écrit:

Alexandra Daddario <3

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(446 réponses, dans Jeux)

En attendant la partie multijoueur sur Mundus Bellicus, je me suis fais la main en Ironman avec des pays que je prend pas traditionnellement :

- La Tunisie : sympa pour celui qui veut tester le jeu "barbare/islam". Elle est suffisamment loin des ottomans pour s'en faire un allié durable (et autant le dire, sans lui, impossible de faire quoique ce soit contre les monarchies catholiques), commence la partie avec beaucoup de petits pays autours à annexer. Le seul ennemis, le Maroc, n'est pas vraiment un problème TANT QUE la Castille et le Portugal tente de s'installer sur ses côtes. Ça se corse à partir de 1500, beaucoup d'instabilité, des révoltes en pagaille. Tips : ne pas tenter de récupérer trop de territoires aux Mamelouks à l'est. J'ai fais l'erreur et l'Ottoman m'a fait passer le goût du pain en moins de 10 ans.

- La Savoie : Faut pas être stresser de la vie. A côté de toi et pour tout le reste de la partie, tu as un espèce de blob bleu monstrueux qui varie entre les relations amicales et la volonté d'intégrer ton duché à la France. La seule solution durable, c'est de s'aligner sur les positions de l'Autriche en serrant les fesses. Mais ça veut aussi dire que presque toutes les conquêtes que tu pourras faire (Suisse au nord, Gène au sud, Milan à l'est) sont des terres d'Empire : bref tu risques de t'aliéner ton seul allié en voulant t'étendre. le seul espoir de ce côté là, c'est que le SERG finisse par élire un empereur ailleurs qu'en Autriche. Il y a bien la Bourgogne à l'ouest mais pourquoi récupérer la Franche-Comté quand le roi de France voudra de toute façon la reprendre ? Pour l'instant, je n'ai pas réussi à finir une seule partie avec la Savoie. Arrivé vers 1650, la France est juste bien trop puissante pour résister. Tips : ne JAMAIS vassaliser des territoires d'Empire, à moins de vouloir se taper une coalition du reste de l'Europe juste après. Testé et approuvé par votre serviteur.

- Milan : ma partie actuelle. Les mécanismes républicains change un peu la donne (pas de mariage royal, des élections tout les 4 ans) et la position en début de partie n'est pas fameuse. Quelques alliances bien placées (avec l'Autriche surtout) permettent de rapidement s'étendre sur Venise. Prochain objectif : foutre les Gènois à la baille et récupérer le port le plus riche de ce côté de la Méditerranée.

Pas sur de pouvoir un jour re-jouer à un Total War.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

J'en ai d'autres en stock mais j'ai pas le temps là.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

صلاح الدين آكلى لحوم البش a écrit:

Du qui fait peuuueeeuueuueueur…

Bon.
Pas évident, comme demande. Je vais moi-même de manière régulière casser les pieds de mon libraire à la recherche de ma madeleine au bon goût moisie d'antan : cette sensation quand, enfant et seulement armé d'une plaquette de chocolat, tu lis pour la première fois Celui qui garde le Ver où les Langoliers. J'ai écumé un bon nombre de bouquins pour la retrouver, avec plus ou moins de succès. Avec la vieillesse, tu perds de l'état d'esprit qui rend crédible et haletant le surnaturel, les monstres et les histoires qui font peur. En général, pour retrouver ce goût, on glisse facilement vers le gore ou le glauque, avec plus ou moins de succès. Bref, c'est pas les livres, le problème.

Cela étant dit, voyons les trucs qui m'ont marqué au fils des ans :

- Les Furies de Boras du suédois Anders Fager : mon gros coup de cœur. Son seul livre traduit en français pour l'instant. C'est un recueil de nouvelles ayant toutes un lien plus ou moins fort entre elle. C'est putain de brillant. L'influence de Lovecraft est omniprésente MAIS sans jamais que ça paraisse forcée. Ça se dévore en quelques séances et tu en sors avec un léger syndrome paranoïaque. La trad française vaut ce qu'elle vaut (Perso, je suis pas bluffé mais je lis pas le suédois alors...) et certaines nouvelles sont un cran en dessous (une ou deux). Mais ça vaut le coup juste pour la première.

La lande de Skanör voit s'écraser une météorite d'où émerge une créature avide ; cent cinquante et une personnes convergent des environs de Stockholm pour un suicide collectif ; une boutique d'aquariophilie est tenue par une femme étrangement proche de ses poissons... Dans ces contes horrifiques, Anders Fager s'empare des grands thèmes de la mythologie, du folklore et du fantastique pour créer des territoires sensuels et sombres, où il fait surgir des créatures d'épouvante. Mais le monstre n'est pas toujours celui qu on imagine. Avec un humour noir confinant à la jubilation, l'auteur construit ses récits à coups de petits détails dissonants qui font basculer un quotidien banal : dans cet univers de cauchemar, dans ce monde dévasté, violence et folie sont partout.

- Trajets et itinéraires de la mémoire, de Serge Brussolo. Encore un recueil de nouvelles. tu connais éventuellement l'auteur. Ça date un peu mais j'en garde un très bon souvenir . Les histoires sont toutes dérangeantes ("La mouche et l'araignée" est probablement un des trucs les plus tordus que j'ai pu lire) et bien écrites. Si t'aimes, autant essayer ses premiers romans aussi.

Villes malades où des ordinateurs s'affrontent en combats souterrains à coups de munitions humaines. H.L.M. de cauchemar dont les locataires, nus, s’exposent aux piqûres de mystérieuses mouches. Camp où les prisonniers sont soumis à d’insupportables séances d’irradiation. Musée gigantesque dont personne n’a jamais vu les limites. Tour-dispensaire insalubre surplombant une réserve de paysans souffrant d’étranges troubles de la personnalité...

- Meddik, de Thierry Di Rollo. Alors Di Rollo c'est particulier. Sans concession, noir, malsain, aucune touche d'optimisme.Le héros, camé jusqu'à l'os, suit Meddik, son hallucination d'un éléphant géant, dans un espèce de rampage tour improbable. J'en dis pas plus.

Grande-Ville.
Cité-monde polluée, inique, ultraviolente, déchirée par une guérilla dont les factions même ont oublié l'origine.
Grande-Ville.
Cité-labyrinthe au ciel de suie peuplé de vautours mutants qui, sans relâche, prélèvent en nuées leur écot sur une population terrifiée.
Grande-Ville.
Cité-tombeau d'un monde assassiné par l'incurie humaine...

Du haut des trois cents étages de l'immeuble de la Gormac, dans le quartier sécurisé des Justes, John Stolker, héritier de l'empire Gormac, contemple Grande-Ville. Sa ville. Alors même qu'il inhale la première bouffée de « K. Beckin », le Monstre le toise et barrit. Démesuré, il emplit l'espace et trace bientôt son chemin de ruine. John Stolker sait que le Monstre lui montre la voie, celle d'une vengeance nourrie par une haine froide et lucide. Aussi va-t-il régler ses comptes avec la terre entière : il suivra le Monstre... Jusqu'au bout.

Et le plus incroyable pour la fin :

- l'apocalypse des homards, de Jean-Marc AGRATI. Au lieu de raconter n'importe quoi, je copie-colle une critique vu sur Bifrost :

Compliqué de parler de ce livre.
C’est un fourre-tout qui agrège des nouvelles et des… poèmes en prose ? des vignettes ? des contes ? par dizaines. Ces texticules, Agrati les appelle des « shots », et la polysémie de ce mot en anglais dit bien des choses, qui renvoie à l’alcool, aux guns, à la photo. C’est l’équivalent papier d’un site web : même si on ne voit pas les liens hypertexte, ils sont là. Couleurs conjuguées. Images réitérées. Expressions déclinées. Personnages récurrents — enfin, peut-être : certains, qui apparaissent dans plusieurs récits, courts ou longs, portent les mêmes noms, en tout cas.

C’est un kaléidoscope violent et cradingue. Avec du sang, du foutre, de la merde. Des apocalypses, oui, collectives et devinées, ou bien individuelles et exposées. Les textes les plus psychologiques, sur la mort de l’amitié, sur la vieillesse et ses perditions, sur les renoncements du quotidien, sur le travail (Agrati dit « la bosse ») et son esclavage plus ou moins consenti, sont poignants, l’air de rien. C’est un catalogue de cauchemars plus dérangés les uns que les autres. Quand on a vu un « four portatif déguisé en chien » bouffer un postier pédé dans un bar de postiers pédés, on s’attend à tout. On n’est pas déçu. C’est un style faussement simple. Une écriture dont les fulgurances tantôt vous ébranlent le cerveau, tantôt vous bottent les couilles. Poésie de l’ordure ? Pas seulement. Ce n’est pas de la SF, à peine du fantastique, plutôt du fantasme. Une bulle acide de présent qui ne demande qu’à crever, ou la bulle acide d’un présent qui ne demande qu’à crever. Il se rattache presque à la littérature fin de siècle, ce bouquin du début de siècle. Contes cruels, Grand Guignol. Une lignée qui s’est poursuivie chez Ruellan, Topor, Sternberg, entre autres.

C’est Ambrose Bierce relooké cuir SM pour Hara-Kiri.
C’est Charles Bukowski joué par les marionnettes des Feebles.
Compliqué de parler de ce livre. Facile de s’y attacher.

Il faut reconnaître qu’il pègue, et pas qu’un peu.

Je suis bien dans le fantastique mais peut-être pas tellement dans la peur proprement dite (pour ça, je dois avouer que King reste de loin le meilleur. Matheson à côté, c'est un peu vieillot.)

Dis moi ce que tu en penses et ce que tu as aimé, que je puisse affiner la recherche.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

J'en ai pleins à te proposer, attend ce soir.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

Malrock a écrit:
NiarkNiark a écrit:

Elle est un peu tristoune la liste du prix Hugo, ces 10 dernières années.
Y a bien Spin, mais après...

En SF, je recommande toujours Succession de Scott WESTERFELD, un space-opéra qui bourre méchamment (mais pas que), pleins de très bonne idées :

http://www.google.fr/url?source=imglanding&amp;ct=img&amp;q=http://i2.cdscdn.com/pdt2/0/0/8/1/200x200/9782266231008/rw/succession-integrale.jpg&amp;sa=X&amp;ei=cCNHVbbKFoSPU4L-gLgG&amp;ved=0CAkQ8wc&amp;usg=AFQjCNGsFRVNJ0Hp8WC_Dbljn4Jp4psnhg

Tu as aussi le cycle (3 tomes) "Chromozone", de Stéphane BEAUVERGER (cocorico !) : c'est excellent.

Enfin, "Le système Valentine" de John Varley qui mérite amplement la lecture : le héro est une sorte de Lechat cosmique et drôle.

En Fantasy "récente", par contre, faut se sortir les doigts pour trouver un trucs potable : Pourquoi pas le cycle des monarchies divines de Paul Kearney, très injustement méconnu ? C'est assez noir, pessimiste, dans un monde entre Moyen-Age et Renaissance. 5 volumes en tout donc on évite la boursouflure de type Trône de Fer.

Merci pour la petite liste SF, par contre je ne partage pas ton point de vue sur la Fantasy récente, notamment y'a une nouvelle vague d'auteur Français qui sont plus qu’intéressant, à commencer par Jaworski que je mets au-dessus, vite fait et de mémoire :
- Jean-Philippe Jaworski : Gagner la Guerre, Juana Vera et même pas mort
- Pierre Pevel : Cycle Wielstadt (3T) et Cycle Lame du Cardinal (c'est plus Jeunesse mais très efficace), pour le premier ça devrait te plaire puisque en pleine guerre de 30 ans avec plein de références aux sociétés occultes de l'époque (Sainte-Vehme et Cie)
- Antoine Rouaud : La voie de la colère
Et chez les anglophone, t'as Joe Abercrombie  avec l'excellent Cycle de "La premiere Loi" ainsi que "Servir Froid" et Scott Lynch avec "Les Salauds Gentilshommes." (3T)

Et j'en oublie encore.

EDIT : de Beauverger t'as le Dechronologue qui est juste génial !

Non mais Jaworski même pas je le cite pas tellement ça me parait évident.
Pour rester dans le semi historique fantasy, tu as bien sur Cendre de Mary Gentle qui est un passage obligé (et l'énigme du cadran solaire, un peu trop verbeux, dommage).

Le Dechronologue est excellent aussi, effectivement.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

Kane a écrit:
Viky a écrit:

Il y a de nouveaux bons bouquins en SF/Fantasy?

https://www.google.fr/search?q=prix+hug … TeU6a3gOgF

Elle est un peu tristoune la liste du prix Hugo, ces 10 dernières années.
Y a bien Spin, mais après...

En SF, je recommande toujours Succession de Scott WESTERFELD, un space-opéra qui bourre méchamment (mais pas que), pleins de très bonne idées :

http://www.google.fr/url?source=imglanding&amp;ct=img&amp;q=http://i2.cdscdn.com/pdt2/0/0/8/1/200x200/9782266231008/rw/succession-integrale.jpg&amp;sa=X&amp;ei=cCNHVbbKFoSPU4L-gLgG&amp;ved=0CAkQ8wc&amp;usg=AFQjCNGsFRVNJ0Hp8WC_Dbljn4Jp4psnhg

Tu as aussi le cycle (3 tomes) "Chromozone", de Stéphane BEAUVERGER (cocorico !) : c'est excellent.

Enfin, "Le système Valentine" de John Varley qui mérite amplement la lecture : le héro est une sorte de Lechat cosmique et drôle.

En Fantasy "récente", par contre, faut se sortir les doigts pour trouver un trucs potable : Pourquoi pas le cycle des monarchies divines de Paul Kearney, très injustement méconnu ? C'est assez noir, pessimiste, dans un monde entre Moyen-Age et Renaissance. 5 volumes en tout donc on évite la boursouflure de type Trône de Fer.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

reblochon a écrit:

et que Talleyrand y était ! Bisous

Et qu'il y était sous les ordres du roi de... *roulements de tambours* FRANCE.
On en revient donc au point initial de notre échange : sur ce sujet, tu racontes un peu n'importe quoi en espérant que ça passe.

J'espère que tu prendras le temps de lire le bouquin, il vaut le coup.

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(55 réponses, dans Informatique)

Prend un I5.
Même en jonglant avec dix balles, tu verras pas la différence.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

En attendant que Reblochon retrouve le sujet et vienne expliquer que dans son manuel d'histoire d'il y a 25 ans le congrès de Vienne il était sous Bonaparte...


http://www.google.fr/url?source=imglanding&amp;ct=img&amp;q=http://4.bp.blogspot.com/-3lITXqN8ST4/UlXTMKvnTVI/AAAAAAAAGcw/9VwXmmd1mzA/s1600/silo.jpg&amp;sa=X&amp;ei=wypDVdjlDYvuUu6ggLAD&amp;ved=0CAkQ8wc&amp;usg=AFQjCNEm5tNJebd6y1H_DUMf-ySi7GK3-Q

Silo, de Hugh Howley.
Trouvé en occaz à 1 euro.

Dans un futur postapocalyptique indéterminé, quelques milliers de survivants ont établi une société dans un silo souterrain de 144 étages. Les règles de vie sont strictes. Pour avoir le droit de faire un enfant, les couples doivent s’inscrire à une loterie. Mais les tickets de naissance des uns ne sont redistribués qu’en fonction de la mort des autres. Les citoyens qui enfreignent la loi sont envoyés en dehors du silo pour y trouver la mort au contact d’un air toxique. Ces condamnés doivent, avant de mourir, nettoyer à l’aide d’un chiffon de laine les capteurs qui retransmettent des images de mauvaise qualité du monde extérieur sur un grand écran, à l’intérieur du silo. Ces images rappellent aux survivants que ce monde est assassin. Mais certains commencent à penser que les dirigeants de cette société enfouie mentent sur ce qui se passe réellement dehors et doutent des raisons qui ont conduit ce monde à la ruine.

Apparemment, ça c'est très bien vendu.
Bah, c'est pas terrible. L'idée est bonne et le départ du bouquin laisse imaginer tout un tas de possibilités. La vie dans le silo, découpée en en étage de prod, est plutôt bien rendu.

Le problème, c'est que l'écriture est plate. Une fois commencé, j'étais obligé de me forcer pour l'ouvrir et le finir. Pas parce que l'histoire ne me plait pas. Juste parce que je me fais chier en lisant.
Le problème, c'est que les personnages, leurs réactions, les situations (mon dieu, l'insurrection...) sont clichés au possible.
Le problème, c'est que pour masquer tout ça (et vendre ses épisodes sur Amazon), on se tape les cliffhangers obligatoires à chaque fin de chapitres qui ajoutent un suspense totalement artificiel.

Bref, c'est pas MAUVAIS, mais c'est surement pas bon non plus. Et je viens de voir que c'est une trilogie.
Ce sera sans moi pour les deux prochains.

2 bites sur cinq.

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(32 468 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

http://www.frandroid.com/dossiers/14159 … riere-wiko

Filiale du groupe Shenzhen Tinno Mobile Technology Corp.
La boulange s'est faite enfler en pensant acheter Français, ma bonne dame.

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(868 réponses, dans La déconne)

Haha.
Ça me fait toujours penser à ce passage d'un des doc de Pierre Carles :

[video]https://www.youtube.com/watch?v=O8i5oYvbTfg[/video]

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(222 réponses, dans 60 millions de connards)

Wild_Monkey a écrit:

Je te file mon code parrain quand tu veux (NiarkNiark je m'aligne sur l'antipolio et je peux te sucer sur Cugnaux)

L'offre est tentante mais j'applique ici la plus stricte des règles asiléennes : premier arrivé, premier servi.