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TroyMcLure a écrit:

Oh le gros parpaing sans image que voila.
Merci pour ce test illisible très cher TDD.

Mais true asile flow chart compliant.

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Chavez a écrit:

Ok je vous concède que d'avancer dans la foule au lieu d'avancer tout seul comme un con vers sa cible est une "forme d'infiltration". Mais tant que t'as pas commis de meurtre de toute façon, t'as pas à te "cacher" plutôt à pas te faire remarquer, ce qui est quand même pas pareil.
Sur tous les trailers tu vois que c'est vraiment du "hit and run" ce qui est un peu le contraire d'infiltration.

Je te maudis, je me suis infligé - juste pour essayer de te pouver que tu as TORT - une interview de Jade Raymond , et j'ai le sentiment qu'elle met plus en valeur la manière "discrète et athlétique" de réaliser les missions.

(ici [swf]http://www.dailymotion.com/swf/x2p4pl[/swf] )

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Ahem.

Attendre d'une association militant pour la légalisation (donc probablement composée de fumeurs) que ses membres bossent pour fournir un argumentaire pertinent (autre que de la compilation de faits historiques sans portée telle que "Carmelia II de Suède en mettait dans ses bigoudis"), n'est-ce pas faire preuve de naïveté?

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Je propose de déplacer le débat vers "Est-il judicieux de confier un assassinat politique à un camé en manque?" et d'invoquer aliocha.

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Belle provocation, mais à mon avis, sur un projet de cette ampleur, ils ont du faire appel à des consultants qui connaissaient d'autres références que wikipédia, comme Bernard Lewis !url!

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Napalm a écrit:

Ouais mais du coup le jeu est très très court: une seule mission, tu la finis, happy game over, tu las loupes, mauvais game over.

A la rigueur, tu peux jouer un assassin différent à chaque mission.

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Tab a écrit:
Chavez a écrit:

D'ailleurs ils se butaient ou se laissaient buté après l'acte.

Source ?

!url!

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C’est le rapport d’un émissaire en Egypte de l’Empereur Barberousse qui date de 1175 qui en fait première fois mention :

« (…) il existe une certaine race de Sarrasins qui, dans leur dialecte, s’appellent Heyssessini, et en romain, segnors de montana. Cette race d’hommes vit sans lois ; ils mangent de la chair de porc contre la loi des Sarrasins et disposent de toutes les femmes, sans distinction, y compris leurs mères et leurs sœurs. Ils vivent dans la montagne et sont pratiquement inexpugnables car ils s’abritent dans des châteaux bien fortifiés. (…) Ils ont un maître qui frappe d’une immense terreur tous les princes sarrasins proches ou éloignés, ainsi que les seigneurs chrétiens voisins, car il a coutume de les tuer d’étonnante manière. (…) Dans ces palais, il fait venir, dès leur enfance, nombre de fils de paysans. Il leur fait enseigner diverses langues, comme le latin, le grec, le romain, le sarrasin et bien d’autres encore.
(…) on apprend à ses jeunes gens à obéir à tous les ordres et à toutes les paroles du seigneur de leur terre qui leur donnera alors les joies du paradis parce qu’il a pouvoir sur tous les dieux vivants. (..) Le prince donne alors à chacun un poignard d’or et les envoie tuer quelque princes de son choix. »

Quelques temps plus tard, le chroniqueur Guillaume de Tyr mentionne la secte en quelques lignes : « Le lien de soumission et  d’obéissance qui unit ces gens à leur chef est si fort qu’il n’y a pas de tâche si ardue, difficile ou dangereuse que l’un d’entre eux n’accepte d’entreprendre avec le plus grand zèle à peine le chef l’a-t-il ordonné. (…) Nos gens comme les sarrasins les appellent Assissini ; l’origine de ce nom nous est inconnue. »

D’après les minutieuses recherches effectuées par l’universitaire Bernard Lewis, c’est en 1192 que la secte frappait sa première victime chrétienne : Conrad de Montferrat, Prince de Jérusalem ; ce meurtre allait avoir un puissant retentissement dans la communauté chrétienne d’Orient en orientant nombre de témoignages de chroniqueurs sur cette étrange et dangereuse secte de fanatiques : le chroniqueur Arnold de Lübeck dit rapporter dans son texte des témoignages oraux de témoins : « Ce Vieux a, par sa magie, tellement obnubilé les hommes de son pays qu’ils ne vénèrent ni n’adorent d’autres Dieu que lui. Il les séduit d’une étrange manière par de telles espérances et la promesse de tels plaisirs dans une jouissance éternel qu’ils préfèrent mourir plutôt que vivre. Nombre d’entre eux sont même prêts, sur un ordre ou un simple signe de lui, à sauter du haut d’une grande muraille et à périr d’une mort atroce en se fracassant le crâne. Les plus heureux, affirme-t-il, sont ceux qui versent le sang humain et qui, en contre partie, trouvent eux-mêmes la mort. (…) il (le Vieux) leur fait voir par sa magie certains rêves fantastiques, pleins de délices et de plaisirs, plutôt d’imposture, et leur promet la possession éternelle de ces biens en récompenses de tels actes. »

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Malgré l'absence de connexion internet pendant ma maigre semaine de vacances dans le sud, j'ai pu jouer et terminer Assasin's Creed 1. Souffrez que je vous inflige mon avis sur la bête.

Avant cela, pour situer mon opinion, je dois confesser ce que j'espérais trouver dans ce jeu. J'aime les jeux d'infiltration. J'ai adoré Thief 1 et 2, je reste un inconditionnel de Tenchu, et la série des Hitman a ma faveur. J'ai passé l'immense majorité de Deus ex 1 accroupi, prêt à égorger le garde qui passe. J'espérais d'AC1 une nouvelle dimension de ce type de jeu, sur laquelle la production avait largement communiqué: l'anonymat de la foule, l'infiltration de jour en milieu urbain.

Tout d'abord, graphiquement, ça claque. Je sortais de Stalker, d'Hitman blood money et de The witcher, et le plus est indéniable. Les villes sont particulièrement bien dessinées, les animations du personnage principal sont léchées, et même si ce n'est pas le cas pour les autres personnages (je pense notamment aux gardes, ainsi qu'à l'ensemble des protagonistes de la farce en laboratoire), il faut bien souligner la réussite du jeu sur ce point.

Le second aspect, c'est la facilité de la prise en main. Après le bref tutoriel, on n'a aucune difficulté à parcourir la ville en escaladant à peu près tout, et  faire des bonds spectaculaires sans difficulté. Il y a eu ici une critique assez féroce de ce parti pris, je dois dire, après y avoir joué, que je le comprends. J'admets l'argument qui veut que l'absence de bouton saut déplace la question qui de "quand est-ce que je saute?" devient "Par où je passe?".

Le premier problème que m'a posé ce jeu est qu'il n'est pas un jeu d'infiltration. C'est un jeu de plateforme/arcade avec un aspect infiltration. Mais cet aspect peut tout à fait être négligé par le joueur sans aucune sanction. Contrairement à un Thief, à un hitman ou même à un Tenchu dans lesquels le combat contre le garde est un moment de difficulté, les gardes ne font pas le poids en combat contre le héros. Qu'ils soient seuls ou une dizaine, ils iront ou tapis, ou se feront semer, et le combat n'aura aucune autre conséquence.

Cette absence de sanction des fautes et erreurs du joueur est une telle constante qu'elle est un choix clair des concepteurs du jeu. Passé quelques passages en fin de jeu (j'y reviendrais), il faut le vouloir pour mourir. Les chutes ne sont pas mortelles en elles-même, elles enlèvent des points de vie, et passé un certain seuil de progression, ne tuent plus du tout. On peut tomber de 4 étages, on perd la moitié de sa vie et celle-ci revient toute seule. La régénération progressive de la vie existe aussi pendant les combats, ce qui encourage à temporiser. Remporter un combat régénère parfois l'ensemble de la barre de vie. Vous tombez face à 6 gardes qui se battent bien. Vous les tuez tous au prix des trois quarts de votre barre de vie, toute votre vie revient au terme du combat. De toute façon, même la mort est peu sanctionnée, puisque le jeu se contente de vous ramener après votre dernière action notable.

La conséquence est nette: sans sanctions, les choix sont sans enjeux. Peu importe de ne pas se faire repérer puisque les gardes peuvent être facilement tués, sans aucune autre conséquence que passer quelques instants à cliquer un peu plus sur la souris(les combats sont inintéressants au possible). Dans Hitman, se faire repérer pouvait amener à recommencer la mission, parce que la cible se barrait/ la sécurité était renforcée et devenait impossible à passer. Ici, rien de tout ça.

Je passe sur les défauts énormes de l'IA qui vous laisse quitter d'un pas calme et mesuré un tas de gardes morts sans vous poser aucune question, qui s'acharne à taper sur votre cheval alors que vous n'êtes plus dessus (et que LES CHEVAUX RESSUSCITENT pour rester dans le thème de l'absence de sanction), qui vous regarde tranquillement dessouder les gardes un par un à la lame discrète mais vous saute dessus parce que vous avez bousculé une porteuse de jarre.

Un autre grave défaut du jeu est sa linéarité, un peu à la GTA, les missions ne peuvent être résolues que d'une façon, à aucun moment le personnage n'a à faire de choix à coloration morale ou éthique (quand le thème abordé l'aurait tout à fait justifié).

Par contre, et ce point a été largement souligné ici, le manque de variété des missions, et leur absence à peu près totale d'influence sur la trame principale est également un grave défaut qui affecte salement la narration. Un jeu comme The Witcher a montré que c'était possible de faire en sorte que les missions secondaires donnent de l'épaisseur à la trame et aux personnages secondaires, dans AC1 cet aspect est totalement négligé. Du coup, à part les personnages de Malik et d'Al Mualim, peu de figures se distinguent réellement.
Le manque de variété des missions et leur répétition consécutive est une critique largement acceptable. La seule chose changeant réellement d'un chapitre à un autre est l'assassinat final, la part du chapitre le précédant relève presque de la corvée. Certains points de vue étaient largement dispensables, et on se prend à soupirer "encore 3 citoyens à sauver?".

L'absence de difficulté réelle proposée par le jeu impacte salement sur sa durée de vie. A aucun moment on n'a de difficulté pour accéder à un lieu. A partir du moment où on dispose des couteaux de lancer, les archers sur les toits deviennent une simple formalité. Quant aux quelques postes de gardes barrant un passage, il y aura toujours un passage par les toits ou un groupe d'érudits à proximité. Pas une seule fois je n'ai eu à créer une diversion. Au pire, forcer le passage n'a aucune espèce de conséquence sur la suite de la mission.

J'aimerais également cracher à la gueule de la fin, à savoir le bloc 6 et la mémoire fermée, qui sont un moment de bourrinage chiant qui sent la fin baclée. Un des plaisirs que j'ai trouvé dans ce jeu (planifier les assasinats) y est totalement absent, c'est du combat scripté à mort avec le jeu qui ferme les zones autour pour que fuir et se planquer soit impossible. Bref, une corvée.
Sur le plan narratif, le twist est largement prévisible. La fin de la narration ne mérite pas ce nom puisqu'elle n'en est pas une et ne constitue qu'une vague annonce de la suite.

J'en profite également pour hurler sur l'histoire de Miles, de l'animus et sur l'interface qui accompagne les moments où on incarne le glandu en survêtement.

Bref. Un jeu que j'ai terminé sans collecter les centaines de drapeaux, tuer les dizaines de templiers, et je n'ai aucune envie d'y rejouer pour ce faire. A mon sens, la rejouabilité est proche de zéro. J'achèterais peut-être la suite dans 3 ans quand UBI aura abandonné sa nouvelle protection.

6/10 (7/10 pour les 2-3 premières heures de jeu)

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(253 réponses, dans La une)

Dragunov a écrit:

Je plussoie l'idée de bannière pour ce croisé

"L'asile, le site qui respecte les traditions"

"Le véritable asile, vous n'aimeriez pas croisé nos membres"

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(253 réponses, dans La une)

Armestat a écrit:

La sidérodromophilie, ou l'excitation sexuelle procurée par les trains

Zlu?

La trépidation excitante des trains
            nous glisse des désirs dans la moelle des reins.

hohun a écrit:
Cmoi a écrit:

Oh ta gueule putain.

J'ai touché une corde sensible ?

juke a écrit:

Ah bah si pour toi connu, ça veut dire Puff Daddy ou Snoop Dog, en effet, il n'est pas connu. Mais ses albums Jazzmatazz, ça ne parle pas qu'aux élitistes du hiphop.

Bah non, même moi je vais plus loin que snoop dogg (bon pas beaucoup plus loin ok mais je connais plus que ce qui passe à la radio). Puff Daddy...mouais, j'écoute plus depuis la fin des années 90.

Hohun, sois gentil, n'érige pas ton inculture musicale en norme.

Même le Figaro a fait un papier sur cette mort.

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(29 640 réponses, dans Liens à la con)

http://i.imgur.com/luDMC.png

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(29 640 réponses, dans Liens à la con)

http://embruns.net/images/2010-t-shirt-iceland.jpg

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(22 531 réponses, dans Liens à la con)

[swf]http://www.youtube.com/v/o_RqL86SiRM?fs=1&hd=1[/swf]

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(2 806 réponses, dans Ask Hohun !)

aliocha a écrit:

Ah oui, OK.

Edit pour TDD : rien à voir avec Zemmour, mais on peut centraliser ici les polémiqueurs qui s'engraissent avec le service public, comme lui et Guillon. Bon, Dieudo il vivra à nos crochets quand il aura sa chambre à Sainte-Anne.

On n'a pas déjà un thread sur dieudonné, dans le même sous-forum?

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(2 806 réponses, dans Ask Hohun !)

Par pitié, arrêtez de parler de Zemmour, sinon je vais devoir m'obliger à lire un de ses livres par honnêteté intellectuelle.

Je n'ai pas mérité ça.

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(32 446 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

SojaCouille a écrit:

Des ressorts ensachés individuellement. 550 y en a. Chacun dans son petit sac individuel et personnel, s'il vous plait.

Un matelas, donc?

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(29 640 réponses, dans Liens à la con)

http://1.bp.blogspot.com/_ipUKIdQpjFU/S7tG0LQ7nTI/AAAAAAAAHqo/7eQURJM8fac/s400/5612+Louis+Hebert+Avenue+sign.png

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(3 182 réponses, dans Sport)

SojaCouille a écrit:

Ils sont pas mariés Ribery et Govou ?

Pour ceux qui pensent faire la blague de "mariés ensemble" vous pouvez vous abstenir.

!url!

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(29 640 réponses, dans Liens à la con)

http://2.bp.blogspot.com/_-k2v2tnSUjA/S8q3FGQB8hI/AAAAAAAACGg/r8YnWEZdtRY/s400/kfc-doubledown4.jpg

Le sandwich qui tue.

Bon, tu es gentil Aeneman, tu nous as massacré la rétine à coup de flashs intempestifs. Si c'est pour ne pas voir une seule photo, à la prochaine asilecon, au premier flash  je te fais manger ton appareil avec un glaçage au chocolat.

Vers le canal dans le coin de colonel fabien, pour moi c'est parfait.

BaKouneT a écrit:

Bon grace aux mouvements sociaux de la SNCF je dois être a la gare du nord a 20h48 au plus tard en absence d'hébergement, ce qui limite enormement ma capacité a sortir

Fais pas ta pute.

Parce que si je dois partir plus tôt du chant inuit prénatal aquatique  pour une destination que je ne connais pas, ça commence à faire cher de la bière en scène de ménage.

"Oui chérie, je pars boire une bière avec des copains...

Non, je ne peux pas te dire où.

Non, je ne peux pas te dire à quelle heure ça finit.

Chérie, lâche ce totem de la parole."

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(11 786 réponses, dans La déconne)

Décryptage d'un beau coup de com de Besson !url!