Bonjour chiens de dhimmis lopes à jus,
Le port du voile est mentionné dans la sourate XXXIII, verset 59
Sourate XXXIII, verset 59 :
Prophète, dis à tes épouses, à tes filles, aux femmes des croyants de revêtir leurs mantes : sûr moyen d'être reconnues (pour des dames) et d'échapper à toute offense - Dieu est Toute indulgence, Miséricordieux.
Note du traducteur : Le port du voile distingue la femme libre (hurra), des femmes de condition inférieure. Plusieurs façon de porter le voile sont indiquées par Tabarî,t. XXII p 33 I, 7 sq. ON a suivi pour yudnîna l'interprétation minimale de Tâhir b. 'Ashir, "revêtant", qui se fonde sur un emploi de Bashshâr. Selon une autre interprétation, plus restrictive, et que pourrait autoriser le min, il faudrait comprendre : "Elles tiennent serré sur elles une pan de leur mante", ce qui semble à Ibn Kathîr et à ses successeurs rigoristes imposer que soit couvert le visage. Linguistiquement, julhâb, "mante, cape", se distingue de khimar, XXIV,31, "fichu couvrant la tête".
Un autre verset traite de la pudeur demandée aux femmes, sourate XXIV, verset 31
Sourate XXIV, verset 31
- Dis aux croyantes de baisser les yeux et de contenir leur sexe ; de ne pas faire montre de leurs agréments, sauf ce qui en émerge, de rabattre leur fichu sur les échancrures de leur vêtement. Elle ne laisseront voit leurs agréments qu'à leur mari, à leurs enfants, à leurs pères, beaux-pères, fils, beaux-fils, frères, neveux de frères ou de sœurs, aux femmes (de leur communauté), à leurs captives, à leurs dépendants hommes incapables de l'acte, ou garçons encore ignorants de l'intimité des femmes. Qu'elles ne piaffent pas pour révéler ce qu'elles cachent de leurs agréments.*
- Par-dessus tout, repentez-vous envers Dieu, vous tous les croyants, dans l'espoir d'être des triomphants…
paix sur les anus dilatés de vos morues fantaisies.