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Ce que veut la femme moderne, libre et émancipée, c’est pratiquer la polyandrie : avec un petit singe goguenard à grosse bite pour lui donner du frisson, un micheton de luxe mené par le bout de sa bite pour lui payer ses breloques, un demi-pédé intello à fleur de peau pour lui faire la conversation.

Les femmes qui ont bien compris le féminisme ont toutes pratiqué la polyandrie de cette façon, à fortiori quand elles se sont suffisamment déniaisés en soirée et qu’il leur est mentalement acquis qu’un homme : ça vous paye le verre pour vous baiser.

N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous payez pour une femme en système « égalitariste » (comprendre : dans un système où elles vous sont juridiquement supérieures), vous ajoutez une brique supplémentaire à la prison vaginocratique dans laquelle vous allez croûpir.

Cette idée qu’il faut s’abaisser devant la femme pour obtenir son cul (rouler des mécaniques par le « game », c’est aussi une forme d’abaissement), c’est un signe d’orientalisation de notre civilisation.

Car dans l’histoire, ce n’est jamais la femme qui est lésée (qui a passé plus de 3 heures de sa vie à discuter avec une morue sait de quoi il retourne) mais l’homme qui perd son temps et son argent dans la conquête d’un « trou » (où il n’a à gagner que du vide).

Que l’on songe un instant aux milliards d’euros perdus pour entretenir des poufiasses, aux milliards de minutes accordées pour soigner l’égo meurtrie de millions de connasses constipées.
Songez seulement aux sommes astronomiques englouties dans la prostitution, vous aurez une vision panoramique de la nature du « trou » que la femme représente.

Moi j'attends surtout l'analyse de notre responsable culturel, M. Spectrum.

La seule expertise que j'ai c'est le film dont j'ai oublié le nom. On y voit un mec partir en fumé avec son lance-flamme après qu'une balle ait frappé le réservoir. D'un autre coté c'était un peu le genre mission suicide.

D'Ailleurs si quelqu'un me retrouve le nom du film, je lui file dix bisous internet.

L'histoire : Un soldat US (un acteur connu) porte un sergent blessé sur le dos, de mémoire dans les Ardennes. Vu que le sergent est bien touché et que les Allemands sont un peu partout, le soldat achève son officier et retourne dans ses lignes. Un supérieur le choppe et le nomme directement Sergent, malgré que c'est une moitié de noob et lui file de la bleusaille sous ses ordres. Il lui dit qu'il n'a pas le choix. qu'il n'a plus d'officier. Le type mène avec succès quelques missions, dont l'attaque de tigre (ou des canons de 88, me souviens-plus), c'est là que le lance-flamme dégage. À la fin une de ses bleusailles le porte, il est salement blessé. La bleusaille le pose à terre, ils se regardent, lui sait comment ça va finir, et là on comprend que ça recommence comme au début.

C'est quoi le premier truc ?

Tu tapes direct ou t'attends quand même les 5s avant de répondre ?

!!!! Il m'a violé l'oreille cet enculé d'ORL pour pauvres. Il y est allé à sec et tout, il a rien dit de ce qu'il allait faire.
Même son assistante tirait un peu la gueule.

http://www.huffingtonpost.fr/caroline-f … 27492.html

Après un minuscule rappel à l'ordre (et la déontologie) de la part du CSA, Caroline Fourest n'en démord pas. En Ukraine, il y a un camp de la paix et de l'amour avec des bisous porté par la démocratie et l'Europe et un camp de la mort et du travail forcé dans les goulags amené par la nouvelle URSS :

Si cette grille de lecture est partagée par d'autres confrères, ce n'est pas le fruit d'un complot ou à cause de « la pensée unique » comme l'écrivent certains auditeurs, mais le résultat d'une logique assez simple : les gens dont le métier est de réfléchir sont plutôt du côté des démocrates que des apprentis totalitaires.