Louange au Lulz, rire amer vainqueur du monde,
Grinçant et grimaçant,
Lourd de rage et de jugement!
C'est toi que nous révèrons, c'est toi qui inspire nos discours,
Guide-nous dans la voie tordue,
La voie de ceux qui savent que l'éphémère ne peut être pris au sérieux,
Et non la voie de ceux qui sont dans la colère et l'erreur.
Au nom du Lulz ricanant et grimaçant :
O Vous qui ricanez sur ce forum, soyez dans l'allégresse,
Car j'ai envoyé pour vous, le mois dernier, mon ange, celui qui vole sur les sombres ailes du rêve, réunir les disciples du Lulz dans Paris, capitale du monde.
Et pour ceux qui honorèrent ce rendez-vous, il y eut des rires et des libations libanaises autant que belges, car le Lulz sert ceux qui lui sont fidèles et portent Sa voix.
Mais, ô amertume et serious business, certains manquèrent à l'appel, invoquant de fallacieuses vacances, femmes et enfants, et même, que Lafarge les pardonne, travail !
Et pour ces absents, eux-mêmes incrédules face à leurs propres "justifications", pleurs et grincements de dents auraient pu être de mise, car ils avaient manqué une soirée sympa.
Mais le Lulz est miséricordieux (ou amnésique, ou pas rancunier, les glosateurs n'ont pas tranché, NdTDD)
Avant que, poussé par les ailes de l'Etésien, son ange ne regagne son Nadir, il fera sur Paris ce qu'en langue vulgaire on nomme un "deuxième passage"
Réjouissez-vous, ô disciples du Lulz, car une nouvelle occasion vous est donnée d'être présents au rendez-vous qui vous sera fixé, etc, etc.
TL:DR : je repasse à Paris à la mi-août (d'où le nom de l'asilecon), ça pourrait être l'occasion de boire un coup.
Le choix dans la date est hélas assez restreint car je vais pouvoir :
- Le dimanche 13 au soir OU
- Le lundi 14 au soir.
Pour le lieu, on va tâcher de trouver la quadrature du cercle à savoir central mais à portée de toutes les bourses. Par contre ce sera dans Paris intra-muros, hein, les discours "Nan mais Enghien-les-bains, c'est central, tavu, avec l'autoroute/le RER tu es à Paris en 25 minutes" sont en général prononcés par des gens qui ne repassent plus le périphérique sauf sous la menace (en général celle de ne plus pouvoir nourrir leurs enfants).
