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Il n'y a pas si longtemps, le sujet était au minimum tabou et maintenant, on va recevoir des guides officiels : https://www.mariefrance.fr/actualite/so … 41682.html

Ça y est Bidule, t’as viré ta cuti sur l’Ukraine ?

Bidule le fera réécrire par ChatGPT.

Citoyennes, citoyens,

C’est avec une tristesse à la hauteur du talent envolé que nous apprenons la disparition d’Émilie Dequenne, arrachée à la vie à seulement 43 ans, par ce fléau sans pitié qu’est le cancer. Un nom barbare, un mot froid pour une réalité brutale : le corticosurrénalome, une maladie rare, injuste, inhumaine. Encore une, dans ce monde où tant d’injustices prospèrent pendant que la vie, elle, se fane trop tôt pour les plus lumineux d’entre nous.

Émilie, c’était une révolte à l’état pur. Une flamme. Une voix. Une présence qui surgit dans le cinéma comme un coup de tonnerre, une déflagration sociale et humaine dans *Rosetta*. Une jeune fille issue du peuple, filmée par les Dardenne, et qui, d’un coup de tête dans le torse d’un contremaître, disait non à l’humiliation, non à la précarité, non à cette société qui broie les êtres.

Sa carrière, c’est l’itinéraire d’une résistante de l’art. Pas de paillettes. Pas de superficialité. Une actrice enracinée dans le réel. Une beauté brute, une grâce terrienne, comme sortie d’un tableau flamand. Une de celles qu’on ne fabrique pas. Une de celles qui *s’incarnent*.

Dans ses rôles, elle portait les colères sourdes, les douleurs muettes, les amours tragiques. Toujours juste, jamais factice. Elle faisait vivre les oubliés, les femmes blessées, celles que le monde regarde à peine. Elle leur donnait une voix. Une dignité. Une lumière.

Et jusqu’au bout, elle a lutté. Dignement. Courageusement. Refusant la plainte, choisissant la vie. Elle partageait ses combats avec une énergie solaire. Non pas pour attendrir, mais pour encourager. Pour rappeler que la force humaine, c’est aussi cela : rester debout quand le monde voudrait vous coucher.

Alors oui, nous pleurons Émilie. Mais nous n’oublierons pas. Elle a laissé son empreinte sur la pellicule comme dans nos cœurs. Elle fait partie de celles et ceux qui, sans grands discours, montrent la voie : celle de l’authenticité, de la passion, et du refus des fatalités.

Émilie Dequenne, camarade du sensible, artiste du vrai, citoyenne de la beauté populaire : merci.

Que ton nom vive à jamais dans la mémoire collective. Et que ta lumière éclaire encore longtemps les écrans et les consciences.

**Qu’ils s’en aillent tous, mais toi, tu restes.**

mais au-delà de la sortie du nom de famille

Ou une prof qui connaît tout sur tout, qui se remet jamais en question et qui ne voit pas qu'elle a une vie misérable, il n'y a pas que des bons profs.

Aucune chance, ce sont les Yvelines, les gens là-bas gagnent plus en un mois que toi ou Conrad touchez en dix ans.

Et les films, les jeux vidéo ?