De la même manière que tu chies pas où tu bouffes, tu baises pas où tu bosses (no zob in the job)
C'est une blague ?
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Le Vrai Asile » Messages de Goldseller13
De la même manière que tu chies pas où tu bouffes, tu baises pas où tu bosses (no zob in the job)
C'est une blague ?
Wow, vous avez une ville qui s'appelle Magog ? Ça claque ! Vous avez Satan et Lucifer aussi ?
Ben je n'ai pas de plans. J'avais un truc cool pour faire des scénars de dessins animés, mais la boîte s'est cassée la gueule. Là aussi c'est la kwise.
Ah, j'avais remarqué le pin's rouge, tu m'as fait flipper avec la dernière, j'ai dû recliquer pour vérifier…
Je parle pas de gras comme Cyp hein, je veux dire, un vrai gros?
T'es fou, il est dans le genre de boîtes où tu joues au squash le midi, un gros ne passe même pas la sélection au CV, et même dans la poubelle, il est placé sous le CV de Rachid.
Edit : ouned.
C'est pas faux. M'enfin quand on me dit aujourd'hui c'est foot/people/Beyoncé, alors Wikipédia devient un lieu de souffrances raffinées.
Ah oui, donc ça ne servait à rien que je le dise trois fois alors, tu ne lis pas mes posts !
Mais il n'y a pas déjà des trucs sympas avec Mounted Blade ?
Ils produisent vaguement des docus-fictions pour Arte, mais je n'arrive pas encore à mettre la main sur le gars qui fait ça pour y jeter un œil. Putain, bosser sur des biographies d'artistes ou de scientifiques, ça me ferait tellement moins chier…
sauf que par fossé, on ne parle pas d'un trou d'un mètre de profondeur, mais une ou plusieurs lignes de quelques 20 cm de fond sur autant de large, avec en prime le petit talus de terre que cela crée. C'est rapide à mettre en place quand c'est prévu par tes troupes de sapeurs. Ce qui est décrit dans plusieurs batailles, je ne vois pas pourquoi ils auraient fait différemment ce coup-ci.
Les chevaux ils y aiment pas. obligé de sauter par dessus, la charge est cassée. Ça ne prend rien pour casser une charge. Et d'ailleurs une charge ne se fait jamais sur 300 mètres. Surtout quand tu augmentes le nombre de cavaliers. Ils partent au trot et finissent en charge sur les 50 derniers mètres. Les formations ne pouvant pas être gardée sur des distances trop longues. Reconstitutions à l'appui.
Non mais tu ne vois pas pourquoi ils auraient fait différemment ce coup-ci parce que tu ne vois rien du tout en fait. Le monsieur t'explique que c'est l'armée de Henry qui a marché sur les Français et pas le contraire, ils n'auraient jamais eu le temps de creuser quoi que ce soit ; ils sont arrivés, ils ont planté leurs pieux à 300 mètres, et ils ont tiré, les autres ont chargé, et pour ça les témoignages viennent de huit chroniqueurs de l'époque. Enfin, quand tu prendras le temps de te renseigner, tu verras que la charge de cavalerie n'a jamais atteint les archers, parce qu'ils se sont débandés avant et qu'ils ont fini leur charge sur les fantassins.
Après, libre à toi de choisir entre les théories d'un prof de Sandhurst qui a consacré sa vie à ça, ou entre tes potes qui font du GN le week-end.
Heu pas vu sur FB celui-là.
C'est basé sur Siri leur truc ? Il va y avoir des bugs lol au moment de l'évocation des sourires les plus douloureux.
Heu non, en dehors des jeux vidéo, il y a des formations, de la discipline, une hiérarchie, et tes armées ne sont pas dirigés par des gamins colériques et illettrés de treize ans.
C'est la faute au poids des armures, mais en fait non, rien à voir.
Reste qu'ils répétent deux fois que c'est la faute aux archers gallois, mais en fait c'est la boue.
Oui, c'est la faute au poids des armures qui handicape les Français au corps à corps, et oui les archers ont été décisifs, mais aussi au corps à corps, c'est dans la précédente page que j'ai citée. D'ailleurs ce sont les mêmes problématiques dans CMW, mais on s'en rend moins compte parce que ce sont des escarmouches et que tout le monde fait n'importe quoi.
Je conseille d'ailleurs ce bouquin aux rôlistes du site — plus qu'aux fans de wargame, car il discute moins de l'échelle stratégique ou même tactique, que de la place individuelle du soldat dans la bataille.
Par exemple, il explique que dans le cas présent, les nobles français se sont empiffrés devant la piétaille britannique au matin de la bataille. Les autres s'étaient tapés neuf jours de marche forcée pendant lesquels ils bouffaient des baies et des glands. Ils avaient presque tous la chiasse, mais pendant les quatre heures qu'ils ont dû attendre la bataille, ils ne pouvaient pas chier ou retirer leurs armures, et donc il devait y avoir un fumet certain dans les rangs britishs…
Reste que ça n'arrête pas une charge de cavalerie qui porte. Les charges de cavalerie ne se faisaient pas sur 300 mètres. Faut arrêter la charge des rohirims, c'est de la fiction.
Les archers anglais avaient creusé devant eux des petits fossés. pas besoin d'être profond, ce qui casse une charge et l'empêche d'aboutir.
Ils racontent des conneries dans ta revue. Si tu lis le texte que j'ai passé avant (qui vient d'ici), il explique qu'ils se sont fait allumer en chargeant la ligne principale constituée d'hommes d'armes à pied, les archers étant sur les flancs.
Enfin, si, ils ont chargé de 300 mètres, et les archers n'avaient pas eu le temps de creuser de fossés car c'est l'armée de Henry qui a marché sur les Français (enfin sur les Armagnacs, c'est un peu différent), ils se sont contentés de mettre des pieux dans le sol. Keegan précise le dispositif ici :
The army had about 700 yards of rain-soaked ploughland to cover. At a slow walk (no medieval army marched in step, and no modern army would have done so over such ground – the ‘cadenced pace’ followed from the hardening and smoothing of the surface of roads), with halts to correct dressing, it would have reached its new position in ten minutes or so, though one may guess that the pace slackened a good deal as they drew nearer the French army and the leaders made mental reckoning of the range. ‘Extreme bowshot’, which is the distance at which Henry presumably planned to take ground, is traditionally calculated at 300 yards. That is a tremendous carry for a bow, however, and 250 yards would be a more realistic judgement of the distance at which he finally halted his line from the French. If, however, his archer flanks were thrown a little forward, his centre would have been farther away; and if, as one chronicler suggests, he had infiltrated parties of bowmen into the woods, the gap between the two armies might have been greater still. Something between 250 and 300 yards is a reasonable bracket therefore.
There must now have ensued another pause, even though a short one. For the archers, who had each been carrying a stout double-pointed wooden stake since the tenth day of the march, had now to hammer these into the ground, at an angle calculated to catch a warhorse in the chest. Once hammered, moreover, the points had to be hastily resharpened. Henry had ordered these stakes to be cut as a precaution against the army being surprised by cavalry on the line of march. But it was a sensible improvisation to have them planted on the pitched battlefield, even if not a wholly original one. The Scots at Bannockburn, the English themselves at Crécy and the Flemings at Courtrai had narrowed their fronts by digging patterns of holes which would break the leg of a charging horse; the principle was the same as that which underlay the planting of the Agincourt archers’ fence. Though it is not, indeed, possible to guess whether a fence was what the archers constructed. If they hammered their stakes to form a single row, it supposes them standing for some time on the wrong side of it with their backs to the enemy. Is it not more probable that each drove his in where he stood, so forming a kind of thicket, too dangerous for horses to penetrate but roomy enough for the defenders to move about within? That would explain the chronicler Monstrelet’s otherwise puzzling statement that ‘each archer placed before him a stake.’ It would also make sense of the rough mathematics we can apply to the problem. Colonel Burne, whose appreciation has not been challenged, estimates the width of the English position at 950 yards. Given that there were 1,000 men-at-arms in the line of battle, ranked shoulder to shoulder four deep, they would have occupied, at a yard of front per man, 250 yards. If the 5,000 archers, on the remaining 700 yards, planted their stakes side by side, they would have formed a fence at five-inch intervals. That obstacle would have been impenetrable to the French – but also to the English archers;4 and their freedom of movement was, as we shall see, latterly an essential element in the winning of the battle. If we want to picture the formation the archers adopted, therefore, it would be most realistic to think of them standing a yard apart, in six or seven rows, with a yard between them, also disposed chequerboard fashion so that the men could see and shoot more easily over the heads of those in front: the whole forming a loose belt twenty or thirty feet deep, with the stakes standing obliquely among them.
Maintenant le plan des lieux :
BaKouneT a écrit:Ça m'a rappelé Au delà du réel, le côté cheap en moins.
C'est bienvendu. Je prends la saison 1 de suite.
Tiens, c'est produit par ma boîte, j'attends qu'ils se collent enfin à la fiction en France.
Tu parles du tout petit marteau que t'as dès le début là ? Il est super rapide quand même, et tu peux faire facilement sauter une tête mal protégée.
Est ce que les français n'en faisaient pas de même à cette époque?
Ça dépend, là ils l'ont surtout fait parce qu'ils ont eu peur d'une révolte des prisonniers qui étaient quand même nombreux.
Ah et puis tu le prends dans le bon sens en plus, tu vas savourer ton jet lag…
Pas seulement, ils ont surtout raté une charge, une explication intéressante ici :
The French, provoked by these arrow strikes, as Henry intended, into attacking, launched charges by the mounted men-at-arms from the wings of the main body. Before they had crossed the intervening space they were followed by the dismounted men-at-arms who, like them, were wearing full armour. The cavalry failed to break the English line, suffered losses from the fire of the archers, and turned about. Heading back for their own lines, many riders and loose horses crashed into the advancing line of dismounted men-at-arms. They, though shaken, continued to crowd forward and to mass their attack against the English men-at-arms, who were drawn up in three groups with archers between them and on the right and left flank. Apparently disdaining battle with the archers, although they were suffering losses from their fire, the French quickened their steps over the last few yards and crashed into the middle of the English line. For a moment it gave way. But the French were so tightly bunched that they could not use their weapons to widen the breach they had made. The English men-at-arms recovered their balance, struck back and were now joined by numbers of the archers, who, dropping their bows, ran against the French with axes, mallets and swords, or with weapons abandoned by the French they picked up from the ground. There followed a short but very bloody episode of hand-to-hand combat, in which freedom of action lay almost wholly with the English. Many of the French armoured infantrymen lost their footing and were killed as they lay sprawling; others who remained upright could not defend themselves and were killed by thrusts between their armour-joints or stunned by hammer-blows. The French second line which came up, got embroiled in this fighting without being able to turn the advantage to their side, despite the addition they brought to the very great superiority of numbers the French already enjoyed. Eventually, those Frenchmen who could disentangle themselves from the mêlée made their way back to where the rest of their army, composed of a third line of mounted men-at-arms, stood watching. The English who faced them did so in several places, over heaps of dead, dying or disabled French men-at-arms, heaps said by one chronicler to be taller than a man’s height. Others were rounding up disarmed or lightly wounded Frenchmen and leading them to the rear, where they were collected under guard.
Et en fait, je ne le savais pas, mais s'il y a eu autant de morts au final, c'est parce que ces pourris de rosbifs *crachat par terre* ont massacré leurs prisonniers qui n'étaient pas bankables…
Kek, je pense aller au Maroc bientot (dans deux semaines). Par contre ce serait plus pour aller (apprendre a) surfer. Ca vaut le coup ? Pas trop cher ? Il faut passer quelques nuits a marrakech ou alors on s'en tape ?
Imsouane. Tu pourras prendre des cours à l'UCPA locale en plus. Évite Marrakech, passe plutôt par Agadir, c'est moche mais c'est plus près. Et dans tous les cas va au moins voir Essaouira.
Ben à Azincourt les chevaliers avec des grosses armures et des épées maousses, ils se sont fait allumer par des paysans. Une fois que t'es par terre avec ton combo côte de mailles et armure de plates, les mecs n'avaient pu qu'à sortir l'ouvre-boîtes — enfin, ils allaient surtout chercher de quoi te relever et te faire prisonnier pour palper la rançon.
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