Drive (Page 7 sur 9)

Premiere critique de commande écrite par Chavez Winding Refn, La critique de Bewaltz devait initialement être dirigé contre Napalm Marshall, avec Stanugh Jackdanielman dans en premiere cible. Rien de bien excitant. Heureusement, l’idée de confier le projet l'écrivain Belwaltz de la trilogie Cuisinavapeur a sans doute permit à La critique de Bewaltz de transcender une trame un peu banale pour devenir une chasse frénétique à travers la chaleur nocturne des yeux du site de cuisine fantasmatique. Si cette histoire de critique solitaire lancée dans une traque vengeresse après la mafia des chiants n’a rien de très original, son traitement par Bewaltz est épatant. Au lieu de réaliser un vulgaire récit à la SàM entrecoupé d'expressions débiles, il décide de prendre totalement le contrepied et de miser sur l’atmosphère plutôt que sur l’action : « La critique de Bewaltz parle d'un homme qui lit des l'asile dans ses chiottes la nuit, parce qu'elles lui permettent de se libérer ».

[...]

Paradoxalement, en naviguant entre la critique urbaine noire et ses codes et l’épure la plus simple, Bewaltz a réussi à réaliser une très bonne critique de commande sans doute très personnelle.

Hunger, Bad Lieutnant, Elephant, A Serious Man, tout pareil, poubelle.

Pour sa première critique de critique Mamouth joue la sécurité, car l'épreuve est difficile tant Belwaltz laisse peu de place à la subjectivité. Pourtant, il ne se content pas de reprendre point à point les éléments de la critique de B, mais se focalise sur leur genèse. C'est en cela que Mamouth peut pécher, peinant à s'affranchir des références au site de cuisine, sa prose peut s'avérer opaque pour les lurkers ou les nouveaux venus.

Une critique pour les initiés du site donc.

J'ai vraiment trouvé la critique de Plume plus chiante que la critique de Bewaltz.

Ce film ne fera donc décidément jamais l'unanimité. Je suis rassurée de voir que Napounet, qui pourtant pense que j'ai des goûts de chiotte n'a pas non plus été convaincu par Drive.

Et TOC !

Headshot!

Je trouve que toutes vos critiques manquent de 3D et de notations en bites.
bref elles sont chiantes.

Vous pouvez avoir tous les deux des gouts de merde ce n'est pas interdit.

Là je suis d'accord, la prestation de Gosling n'a rien d'incroyable, c'est pas une performance.

Mais c'est exactement comme ça qu'il fallait le jouer, il est parfait.

Mais grave. Ce qu'il y a de bien justement c'est que par exemple la naissance de la romance entre le héros et la blondasse, elle est pas surjouée, c'est super rare. Des regards furtifs, des sourires timides POINT. Pas de musique "romantique" pour faire comprendre, pas de gros plan sur une expression extatique du héros... Ça rend le truc d'autant plus fort, parce qu'en vrai t'as jamais vu un mec s'arrêter en plein milieu d'un super marché pour exprimer son sentiment d'amour sur sa gueule.

Bref quand enfin on sort un film qui n'est pas fait pour être compris/apprécié dès 12 ans (critère utilisé par tous les films hollywoodiens) je vois qu'il y en a pas mal qui sont largués.

Quand on voit les tartines de merde que t'arrives à pondre pour justifier les jeux ubi pour handicapés, que tu te la racontes mongolo-élitiste à chaque débat cinématographique c'est un peu gras tout de même.

Mauvais troll. Je chie sur 95% des films aimé par Seskemachine et je n'ai pas vu un seul transformers. C'est pas ça qui est gênant dans mon cas.
Thermostat sort Éléphant, bah Éléphant oui c'est lent et silencieux, mais il y a quelque chose à raconter.

L'exemple de la romance, je n'ai pas du tout le même point de vue.
Certes il n'y a pas de musique idiote ni de clichés crétins, mais ce n'est pas pour ça que c'est crédible.
Elle tombe amoureuse de son voisin en le voyant 2 fois et en sachant que son mari sort enfin de prison dans quelques jours...

Mon principal souci dans ce film ce n'est pas la réalisation, mais l'histoire qui tient sur une feuille A12 et qui resterait chiante même si c'était du John Wo époque Hong Kong.

Headshot aussi