Docu Arte sur les JV

Notez que ce documentaire a été diffusé le jour de la St Kevin.

Je ne comprend pas, c'est quoi la merde de plus, arte ou CanardPC?

personnellement j'ai pas du dépasser le quart...

Oui, aucun lien avec une quelconque affaire de fusillade et aucun lien entre les JV et des actes de violence IRL, on voyait surtout du wow/warcraft/un RTS qui semblait être battle for middle earth/un fps au pad/.. même pas gore.

A part le mec qui jouait 16h/jour les autres jouaient même pas tellement.

Tout au plus les remarques débiles des parents (qui n' engagent qu' eux) genre "il veut pas faire l' armée mais il joue aux FPS il est schizo" où d' autres trucs sortis de la bouche de gens inquiets qui ont jamais joué à un JV de leur vie et regardent leurs enfants bizarrement lorsqu' ils jouent (genre "regardez il est absorbé par son écran il bouge plus"), la classique vision externe complètement fausse et ignorante..

C' était un documentaire aussi, et pas un clip avec des changements de caméra toute les 200ms avec des trucs à tuer des épileptiques et de la musique tellement forte qu' elle couvre les paroles des gens, ce qui était quand même plus reposant que les choses qu' on voit d' habitude sur les autres chaînes, et qui sont surtout là pour "tenir" le téléspectateur et faire passer leurs idées plus façilement en empêchant le spectateur de trop réfléchir que de faire un truc un peu objectif.

Pour revenir à l' article de CPC, c' est marrant mais quand il parle des structures du cerveau qui se reforment et des opiacés endogène, c' est pas des conneries, c' est non seulement parfaitement véridique et logique, mais c' est aussi repris plus sérieusement dans l' article sur la dépendance aux JV dans le dernier CPC papier...

Et c' est aussi marrant de voir un peu partout, ici sur CPC, sur blogs.nofrag..  que les gens dans les commentaires (et dans les articles) crachent dessus systématiquement par habitude des docs très orientés anti-JV/sensationnel/FPSatan etc.. de TF1 Sans prendre la peine de regarder le truc avec un minimum d' objectivité.