Sujet : Chantal Goya, bienfaitrice du droit

Voilà pourquoi j'aime le recueil Dalloz.

Un spectacle qui tourne mal.
Décidément, Chantal Goya joue de malchance!(...)
Las! L'on s'aperçoit au moment de l'opération de dédouanement, effectué à l'aéroport de beyrouth que cinq des six colis destinés à transporter le matériel de spectacle de la chanteuse (dont on imagine, l'habit de Bécassine et le célèbre costume de "Pandi Panda"), et qui devaient être acheminés par avion, manquent à l'appel.(...)

Chantal Goya est finalement, à ses dépens, à l'origine d'un grand arrêt de droit aérien(...)

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Chantal Goya, bienfaitrice du droit

Sérieux dis moi dans quel Dalloz on trouve des anecdotes aussi intéressantes parce que là je me débat avec "La Philosophie du Droit" et à part des blagues de juristes du siècle dernier et des métaphores qui selon certains profs sont "irrésistibles", je me fais royalement chier.

Lire un Dalloz sur une terrasse en plein soleil, c'est aussi approprié que de bouquiner Public lors d'un trekking au Népal.

Re : Chantal Goya, bienfaitrice du droit

Celui-là, c'était le numéro du 5 avril 2007. Et le Dalloz, c'est une ambiance nettement plus détendue que le JCP. Il y a toujours un ou deux auteurs pour essayer d'être décontracté.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."