Si seulement la prochaine cible, ça pouvait être Onfray...
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Le Vrai Asile » Messages de NiarkNiark
Si seulement la prochaine cible, ça pouvait être Onfray...
C'est pas la première fois que tu me fais le coup, hein.
Et tu les engages avec quoi, les moyens ?
Des bisous ?
T'as l'intention de me répondre bichon ou t'as déclaré forfait ?
Jako pour un Patrioct Act à la Française !
Si Soja était là, il applaudirait des deux mains cette solution HUMANISTE.
Pourquoi 80% de la population mondiale ? Je vois pas où tu veux en venir. Et non, je pense pas être plus intelligent, seulement bien plus cynique.
PS : Je suis croyant.
Sans s'accrocher sur le chiffre exact, il me semble bien qu'on tourne autour des 80% de croyants sur terre. Des gens qui ont la foi, quoi. Comme un musulman, un chrétien, ou un bouddhiste. Je vois d'ailleurs pas ce que veut faire passer Thermos avec son image. L'univers est grand ? Les E.T sont surement athées ?
Tu mets une coupure entre l'acte de croire en l'Islam et celui des autres religions qui n'existe pas vraiment. La Foi, c'est la Foi. Raisonner en terme de logique économique ("Si je devenais Bouddhiste, j'aurais plus besoin de faire à manger !"), c'est s'assurer ne rien comprendre au phénomène religieux. Thermos fait pareil quand il parle de "des raisons à la con n'ayant plus aucun sens" pour parler des dogmes. Ça n'a aucun rapport. D'ailleurs, comme si l'Islam seul avait des interdits alimentaires !
Que tu sois croyant ne change absolument rien à l'affaire.
Regarde, je suis athée et j'ai un regard bien moins arbitraire sur le phénomène que toi.
Si Soja vient pas, à quoi bon ?
Non mais tout le monde sait que l'islam c'est une religion idiote qui s'autoencule sans arrêt. Ce qui est dingue, c'est qu'une grande majorité de mec un peu bronzés ou blacks se sentent obligés d'être musulman, alors qu'il y a tout un tas de religion disponible qui sont moins chiantes et moins idiotes.
Pour avoir un peu étudié le sujet, je vois pas ce qu'il y a d'attirant à être musulman, entre les piliers de la religion idiots et mécaniques (sauf un tu me diras), la bande de mongols qui pratiquent de part le monde, qui a envie de s'identifier à ça dans nos pays développés ? Sérieux ? Alors les athéistes élargiront la question à se demander pourquoi devoir choisir une religion, mais bon, rien que la question pourquoi l'islam, cette religion créée par un barbare pédophile qui avait besoin d'un truc pour unir des enculeurs de chèvre et conquérir un putain de désert, et qui nous a fait une copie raté du christianisme, pourquoi choisir ça ? Même le pastafarisme ça semble une meilleurs option.
Haha.
Tu trolles ou tu te penses vraiment plus "intelligent" qu'un peu plus de 80% de la population mondiale ? Reblochon, c'est du petit lait comparé à la condescendance que tu affiches ici.
J'en connais un qui va se faire engueler par niark :
Engueuler Terminator ?
Il est fou, le type !
Sinon, vu le beau monde qui va se retrouver pour la marche à Paris ce dimanche (Merkel, Cameron, Renzi et Rajoy en plus de Juncker et de Hollande), y a moyen de faire un carton plein pour un terroriste encore planqué, nan ?
CAPTN_CAVERN a écrit:NiarkNiark a écrit:Je sais pas ce qui m'angoisse le plus
N'avoir aucune position ?
Ou pardon si, une position sur-élevé à tendance flou de type le cassoulet c'est pas bon putain, ça fait peter ! Hihihi, z'etes tous des cons
Position dite du spectateur à zappette qui change d'avis comme de chaine (comme Reblochon quoi)
A quelle catégorie pré-citée tu appartiens, copain ?
Il en manque peut-être une, celle des Ayatollahs de la prise de position, petits kapos de la société moderne qui s'indigne de tout et porte fièrement sur facebook un petit avatar noir CONTRE LA BARBARIE MONSIEUR. Ce sont les mêmes qui demandent à tous les musulmans d'aller se flageller dans la rue en même temps "parce que c'était un musulman m'voyez alors ça serait bien quand même de montrer que vous êtes pas tous des tueurs sanguinaires inch allah".
Refuser la médiocrité dans ces aspects les plus contemporains semble être une position bien assez exigeante.
Je sais pas ce qui m'angoisse le plus entre :
- les bobos qui prennent de haut le reste de la population avec la réaction toujours pathétique « Et voilà maintenant les gens idiots et méchants sont décomplexés à cause de ça ils réfléchissent plus et vont voter FN c'est trop injuste". Ta gueule.
- Les maghrébins français par dépit ou quand l'équipe de France gagne un match qui peuvent pas s’empêcher de dire "oui bon c'est horrible mais quelque part, ils l'ont bien cherché, nan ?" Ta gueule.
- le Français type Indalo incapable de réfléchir : "je me suis fait tirer dessus en Afghanistan, les types là sont basanés et crie Allah Ouakbar, ce sont surement les mêmes !". Ta gueuuuuuule.
- La caste politique dans son intégralité qui, sentant la mort et la détresse, s'empressent de lécher la bête pour en recueillir un peu de gloire. Ta gueule.
- Les médias. Tous. Il me faudrait des années pour exprimer le dégoût pour cette profession de balais à chiottes. Ta gueule.
D'autres catégories sont surement possibles.
Elles ont toutes en communs de mériter une balle dans la nuque.
Y a bien que sur l'asile que je me choppe pas des aigreurs d'estomac.
Un bon transit, dès le matin, c'est important !
Monsieur Maurice a écrit:Et Michel se dégonfle !
Il faut dire qu'il manque un peu de mordant ces derniers temps.
C'est quoi son problème, au fait ?
Parce que la transformation en quelques années est assez incroyable.
J'ai bien expliqué que les changements étaient lents, longs. Faut jamais avoir fait de politique pour s'imaginer que des changements profonds se font comme cela.
J'aimerai bien comprendre ce que "faire de la politique" veut vraiment dire chez toi, que l'on puisses savoir si oui ou non chacun à droit au badge "j'ai fais de la politique" décerné par la Fondation Reblochon.
Parce que, en attendant, des exemples d'actions sur une très courte durée ayant eu des conséquences historiques majeures sur nos sociétés, j'en ai des dizaines dans les cartons.
1789 est probablement l'exemple le plus éclatant que ce que tu avances est tout à fait incorrect. J'espère que tu n'oseras pas me sortir que c'était pas de la politique !
(même si j'en rêve un peu, secrètement, allez...)
Je n'ai jamais dit que les médias sociaux permettaient de déclencher des révolutions, juste de changer le monde.
Euh. J'ai ris, pardon.
Quand on gratte la bravade révolutionnaire internette, on trouve dessous un réformiste mou de la teub.
"Changer le monde", ça ne veut absolument rien dire de concret et tous les bobos, les hippies, les végétariens et les féministes de la création pensent changer le monde tout pareil en s'indignant contre la guerre, la méchanceté, le vilain terrorisme et que sais-je d'autres.
Ils ont TOUS un autre point commun avec toi : on les retrouve sur internet, (nouveau) lieu de la non-contestation libérale.
Mais je n'ai jamais quantifié ce changement. J'ai même pris la peine de précisé tout cela et de donner comme exemple de petites victoires politiques.
Oui.
Je te rappelle que je suis tout à fait d'accord pour dire que ces outils sont formidable dans une optique réformiste de la société.
D'ailleurs pour changer le système, c'est avec le mouvement pour les assemblées constituantes populaires qu'on essaye de le faire, pas avec les médias sociaux, bien que ceux-ci nous servent à publiciser ce projet. Parce que changer un système, c'est avant tout changer de constitution et surtout ne pas la faire écrire par ceux qui profitent du système actuel.
D'autres ont tenté et compris bien avant toi que ce genre de "changement" est tout à fait illusoires dans la société moderne. Ça n'a rien avoir avec du défaitisme que de constater les éléments matériels qui rendent impossibles ce dernier. Par exemple, j'aimerai que tu m'expliques comment tu peux demander aux gens un retour à une forme de démocratie populaire beaucoup plus exigeante pour eux (en terme de temps donnés à la collectivité par exemple) avec les conditions de vie moderne et l'aliénation qui en découle forcément.
Pour faire plus simple, prenons une Sojanecdote que j'aime beaucoup : ma mère se casse la santé dans un boulot exigeant physiquement (5h 12h-13h 16H, coucou les 35h) et dans des conditions difficiles (froid, humidité, bruit). Elle a 50 ans. Quand elle rentre, elle est rincée physiquement et moralement. Outre le dégoût du cynisme des hommes politiques qu'elle partage avec beaucoup des employés nouveaux ouvriers de la société moderne, ce sont les conditions mêmes du travail qui font que, un dimanche ou je lui demande si elle va aller voter ou pas, elle me répond "qu'ils aillent tous se faire foutre, je n'ai pas la force pour leurs conneries".
Bon il ne s'agit pas de faire du mélo mais bien de montrer avec un exemple précis (qui vaut toutes tes pirouettes à base de "j'ai lu telle étude sur un sujet qui me passionne mais je suis infoutu de retenir le nom du type") que le problème est infiniment plus complexe que de réunir l'amicale des bobos québécois et les retraités pour savoir si oui ou non ils veulent bien changer de constitution. La réflexion au sujet du travail est centrale dans le type de société dans lequel tu veux vivre et donc du mode de production et donc du mode de vie etc etc.
Tiens, je te laisse avec le dernier texte paru dans Socialisme ou Barbarie, revue lancé en 1949, et écrit par Castoriadis en 1967.
Il y fait le (déprimant) inventaire de plus de 20 ans de luttes politiques pour changer la société.
Rien ne permet d'escompter une modification rapide de cette situation. Ce n'est pas ici le lieu de le montrer par une longue analyse, dont d'ailleurs les éléments essentiels se trouvent déjà formulés dans les dix derniers numéros de Socialisme ou Barbarie. Mais il faut souligner ce qui pèse d'un poids énorme dans la réalité et la perspective présente : la dépolitisation et la privatisation profondes de la société moderne ; la transformation accélérée des ouvriers en employés, avec les conséquences qui en découlent au niveau des luttes dans la production ; le brouillage des contours des classes qui rend de plus en plus problématique la coïncidence d'objectifs économiques et politiques. C'est cette situation globale qui empêche aussi que sur un autre terrain : celui de la crise de la culture et de la vie quotidienne, soulignée dans la revue depuis de nombreuses années, puisse se développer et prendre forme une réaction collective positive contre l'aliénation de la société moderne. Parce qu'une activité politique, même embryonnaire, est impossible aujourd'hui, cette réaction n'arrive pas à prendre forme. Elle est condamnée à rester individuelle, ou bien dérive rapidement vers un folklore délirant qui n'arrive mime plus à choquer. La déviance n'a jamais été révolutionnaire ; aujourd'hui elle n'est plus déviance, mais complément négatif indispensable de la publicité "culturelle".
http://archivesautonomies.org/IMG/pdf/s … taphe).pdf
(En vrai, je ne dis pas que les efforts autour des projets de constitutions populaires ne servent à rien, mais je doute complètement de l'apport positif des réseaux sociaux sur le long terme. Dans le meilleurs des cas, ils amènent sur le court terme un tas d'individus 2.0 prêt à s'engager en cliquant mais qui feront défaut si ça doit aller plus loin)
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/0 … hausse.php
D'après Europe 1, un site leader de vente de presse en ligne a débité 8 000 abonnements annuels à Charlie Hebdo en deux jours.
D'ordinaire, la plateforme distribue 300 contrats par an.
Un paquet de branlots se découvre une conscience.
Ce monde est simplement merveilleux.
C'est bien, on commence à lire un tas d’âneries un peu partout : j'aime particulièrement les journaux mettant en avant que, sans eux, point de démocratie alors il faut vite se battre pour le droit de BFM à dire de la merde 24h sur 24H.
Enfin, si vous êtes un amis de la liberté et de la démocratie, bien sur !
Dans ta tête. Il ne me met rien du tout et reprend une partie de l'argumentaire d'un lien que j'ai mis, qu'il n'a pas lu, sur les déviances de ces médias qui deviennent pour une partie de la population un plus sûr moyen de contrôle des masses.
Je ne parle de ça à aucun moment, en fait : le «contrôle des masses» pourrait vouloir dire quelque chose si celui-ci n'était pas voulu. Mais aujourd'hui, même les révolutionnaires dans ton genre utilisent (avec gratitude) les outils qui conditionnent la non-possibilité d'un changement de culture. C'est comme de parler d'esclavage pour l'ouvrier moderne ou le consommateur, le terme est inopérant.
Tu es sur de lire mes posts et de ne pas simplement inventer mes réponses au fil de la conversation ?
Pour citer les études, j'ai le sale défaut de lire des articles, parfois papier, sans lire le nom de l'auteur, parce que ça j'en ai rien à foutre de savoir comment il s'appelle. En plus je ne retiens pas les noms, juste le sens des propos du gars. Donc oui j'en ai lu des études et articles sur le sujet, parce qu'il m'intéressait, mais donner la moindre source, ça j'en serais incapable. Mais je sais encore ce que je lis.
Peut-être, mais moi non et c'est bien ça le problème.
D'ailleurs on peut aussi lire tous ces experts qui nous disent que les médias sociaux sont entrain de mettre à mal le journalisme traditionnel, donc les rapports de force du 4e pouvoir, 4e pouvoir qui ont le sait permet de faire gagner des élections. Mais ça ne change rien c'est sûr. C'est pas comme si le pouvoir financier ne s'évertuaient pas à contrôler cela, comme le signale d'ailleurs Niark dans sa réponse en citant ce grand complot libéral.
Je ne parle nulle part de complot. C'est débile, de penser comme ça. En fait, tu réponds systématiquement à côté des propos de ton interlocuteur. C'est pénible, on dirait un journaliste de BFMTV. J'ai dis moi-même plus haut que les réseaux sociaux sont un fantastique outil technique pour amender la société moderne et essayer d'en contrôler ses pires effets.
le fait est que les médias sociaux sont capable de changer le monde
La, par contre, je ne te suis plus. Pour le révolutionnaire, cet outil est absolument contre-productif.
C'est à mon avis une erreur de croire que tu va changer profondément quoique ce soit dans la culture dominante en utilisant un de ses meilleurs vecteurs de sa propagation.
Larvasse, tu as participé à un de ces rassemblements de type citoyen ?
Avec la petite pancarte et tout ?
Putain mais on s'en fout de ta vie.
Indalo, tu devrais vraiment prendre le temps de ne pas intervenir dans cette discussion aujourd'hui.
En plus c'est mauvais pour ta ré-incarnation.
Et bah putain !
J'avais du mal à y croire mais c'était bien trop pédé pour le gitan, un truc pareil.
La déception est grande.
Sur les motivations du vote il y a déjà eu des études.
Alors bichon, si tu veux avoir une discussion sérieuse, la moindre des choses c'est de citer ton étude. Que je puisse vérifier que ta jolie liste ne s'applique pas qu'à l'Ontario, pour les élections municipales de 1993.
Je te le fais d'autant plus remarquer que tu es une sorte de champion du monde de la généralisation abusive (et de la mauvaise foi). La nuance, essentielle en science humaine, ne fait jamais partie de ton discours.
Maintenant va faire un tour dehors et amuse-toi à faire le sondage classique : demander aux gens le nom de leur député, 1er ministre, maire, etc. Ils sont tellement intéressé à la politique que la grande majorité ont aucune idée de qui occupe ces places.
Déjà fait, sur des cercles à la fois familiaux et amicaux mais qui ont en commun d'être des "petites gens"(je le précise pour que t'évites de me sortir l'argument massue : université livre bobo) et les résultats ne vont pas dans ton sens, désolé. Une majorité ont une idée précise des gens qui les gouvernent (président, 1ier ministre et souvent les noms des ministres considérés important comme l'éco mais AUSSI à l'échelon local le maire) sauf, et là je te rejoins, pour les mandats régionaux. Mais si tous le monde s'en fout de ça, c'est bien moins par manque de CULTURE POLITIQUE que par simple bon sens au vu de l'importance d'un président de région.
Super, je ne fais que rapporter les conclusions de plusieurs sociologues et politologues sur le sujet. Des gens certains que plus aucun parti politique ne peut ignorer les médias sociaux. Même qu'ils trouvent que la classe politicienne franàaisee est en retard sur l'utilisation de ces médias... ce qui expliquerait ton impression pour le coup, que tu sous-estimes les pouvoirs réels.
Toujours aucun nom.
C'est si compliqué que ça ou bien tu ne veux pas donner l'impression de lire des livres ?
Dans tous les cas, il me semblait qu'on parlait de la faculté des réseaux sociaux à changer le modèle de société. D'où ma position sur laquelle je reste : les réseaux sociaux sont un de ces "ateliers où se forgent les modèles neufs qui, plus ou moins vite, s’imposent ensuite progressivement à la totalité du corps social" pour reprendre Duby quand il parle de son travail dans l'histoire culturelle :
« La tâche consiste donc en l’inventaire, pour une époque déterminée, des assises d’une culture. C’est-à-dire d’abord d’un ensemble de signe et de symboles […] qui commandent les mécanismes mentaux et par lesquels l’esprit humain appréhende le réel, se situe à l’égard du temps, de l’espace et d’autrui, et projette dans l’imaginaire ses désirs et inquiétudes. »
La culture dominante aujourd'hui étant d'inspiration libérale (attention, j'ai sorti le terme, Dragunov ne devrait pas tarder à venir crier "NÉOLIBÉRALISME PROUT" partout), je ne vois pas comment utiliser une machine à produire de cette culture pour changer celle-ci. Mais je comprend maintenant que tu voulais simplement dire que Facebook est un passage obligé pour celui qui veut continuer a avoir une capacité politique intacte A L'INTÈRIEUR du cadre de la démocratie libérale parlementaire.
Il ne s'agit en fait pas du tout de faire d'un quelconque changement ou révolution (morale, culturelle, sociale) mais d'accompagner les pires aspects de la société moderne afin d'en limer les aspérités les plus coupantes.
Si c'est bien de ça qu'il est question, dis le moi tout de suite, que je puisse arrêter de perdre mon temps à lire tes pâtés. Il n'y a aucun intérêt à savoir si oui ou non Facebook t'as permis de repousser un projet politique ou un autre parce que :
- Tu n'as aucune force de décision dans ces projets.
- Ils continueront donc de venir puisque ceux qui en bénéficient sont toujours en place, détiennent l'appareil économique et médiatique (dont internet fait parti, faudrait pas se le cacher).
- En utilisant cet outil, tu ne fais que renforcer sa légitimité (en y mettant tous les mécanismes d'aveuglement que tu voudras à base de "oh mais je l'utilise que pour ça moi") et la supériorité culturelle qui en découle. C'est évident quand tu regardes les réactions médiatiques occidentales face aux révolutions auvergnats : "C'est trop beau Twitter et Facebook ont anéantis la vilaine dictature ! Maintenant la démocratie libérale va pouvoir ENFIN prospérer". En fait, c'est une vision purement idéologique et très éloignée de la réalité. La seule chose qui fait tomber un régime, ce sont les corps (vivants et morts). Quant à la venue mécanique de la démocratie après les tyrans, il faut être d'un angélisme BHLiens pour y croire.
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