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(29 806 réponses, dans Liens à la con)

Ça me rassure, merci.

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(32 477 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

750 balles un aspiro ?
Je suppose que tu as fini par étrangler le marxiste en toi, Lechat ?
Parce que sinon, ne t'inquiètes pas, il est probablement mort de honte.

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(29 806 réponses, dans Liens à la con)

LeChat a écrit:

http://img11.hostingpics.net/pics/14271820526102051350714690322109392561924571557n.jpg

Ouais, un "nouvel" ami.
Ahem.

*sifflote*

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(11 792 réponses, dans La déconne)

hohun a écrit:

Les électeurs UMP sont décidément des débiles finis.

Il existait encore un doute sur ce sujet ?

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(32 réponses, dans Informatique)

Intel Pentium G3220 3.0GHz
NVIDIA GeForce GTX 750 Ti 2GB
4GB memory
1TB 7200-rpm hard drive
Front panel 2x USB 2.0
Back panel 2x USB 3.0, 4x USB 2.0
1Gb Ethernet port
WiFi 802.11b/g/n
Mini-HDMI port, DVI-D (Dual-link) port, DVI-I port
Front panel headphone jack, microphone jack
SteamOS
1x Xbox 360 Wireless Controller

C'est pas un peu cheapos pour la version gaming ?

Antipathique. a écrit:

encore pire qu'avec le hip hop pour thug blanc bourgeois

Kefka a écrit:

Y a pas déja le topic de Niark qui repertorie la meme chose ?

Ahem alors pardon mais va te faire enculer, un peu.

La merde à Jako :

http://www.glidemagazine.com/glide/wp-content/uploads/2014/06/Angel-Olsen-1.jpg


La musique de qualitay de Niark :

https://thecoppertone.files.wordpress.com/2011/05/3_albert_king_1.jpg?w=640

Si tu sais pas faire la différence, c'est peut-être que tu mérites de te faire crever les yeux et les oreilles par B2O.

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(869 réponses, dans Informatique)

Matos reçu ce matin et une belle rayure de 10cm sur l'écran visible qu'une fois allumé.
Putain de bordel de pute.

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(1 418 réponses, dans La une)

On attend l'analyse de bismuth !

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

sed a écrit:

Jai survole les dix premieres pages de ce thread

Il y manque les précieuses réflexions de Saint Soja, c'est dommage.
Sinon, j'ai scanné mes livres puis passé un coup de ABBY pour récupérer les textes d'un coup. Bon il a aussi fallu tout remettre en page et le copié-collé à la chaîne peut vite devenir très casse-couille : la vérité c'est que les citations mises ici représentent même pas 10% du matériel que j'ai utilisé dans le mémoire. Le pianotage, j'ai du me le coltiner pour le M1 avec les articles du Monde. Une expérience que je ne veux renouveler pour rien au monde.  En gros, je pense pas me refaire un jour autant chier.

Et le partager implique de corriger les erreurs soulevées pendant la soutenance , d'abord.
Et j'ai absolument aucune envie de le faire.

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(3 850 réponses, dans Jeux)

Frénésies a écrit:

Tu veux juste des jeux en coop ou du FPS?

N'importe quoi, oui.
RPG, FPS, RTS.

Sauf les MMOs et affiliés Free to Play et autres trucs chronophages.

J'ai bien envie de tester NeverWinter Night 2 mais bon, elle a déjà pas aimé Baldur's Gate.
Merci pour les idées.

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(4 231 réponses, dans Culture & médias)

Si t'enlèves les citations, il reste pas grand chose à l'article, quand même.
Sinon, j'adore vraiment ce wiki.

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(3 850 réponses, dans Jeux)

Après Divinity, on vient de terminer Borderland 2 en coop avec ma gonzesse.
C'est LE jeu parfait pour faire découvrir les mécanisme du FPS au sexe faible sans que ce soit trop punitif ou l'entendre râler "parce que ça va trop vite".

Maintenant, on cherche autre chose. Des idées à proposer ?
Je sais qu'il y a la pré-séquel de Border mais on va éviter l'overdose d'un coup. Sur PC, bien sur. Pas de genre en particulier, sauf jeu de watures. Et si c'est piratable, c'est tant mieux (parce que Dead Space 3 et Diablo 3, c'est mort j'ai l'impression).

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(29 806 réponses, dans Liens à la con)

juke a écrit:

le conducteur de taco

Il est béni des Dieux, lui.
Après un truc pareil je vais direct jouer à l’euro million.

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(17 065 réponses, dans Culture & médias)

reblochon a écrit:

Tous des cons d'après Niark bien sûr

Pour certain, c'est un fait avéré.
Dans les nouveaux qui viennent d’apparaître, si tu enlèves les journalistes avec des diplômes et ceux qui trempent dans la politique (Shirley qui voue une adoration à Reagan, Millière qui appelle à voter pour la droite américaine depuis Bush fils), il reste un lien vers histoire presse (ne pas rire) et Stephane Stapinsky (inconnu au bataillon, à part qu'il est historien, rien ne filtre de google). Tu sais, ce n'est pas parce que tu le lis sur internet que c'est forcément juste ! Si tu sortais un peu de tes lectures tu verrais que dans la VRAIE que le mariage gay est reconnu dans 37 États aux USA et que le Times demande la légalisation du cannabis. Sans même aborder la question économique (la seule qui vaille, en fin de compte, et celle sur laquelle la tendance depuis 1980 est la plus facile à lire).

Des exemples frappant des effets de ta révolution conservatrice.

La guerre, c'est la paix.
La liberté, c'est l’esclavage.
L'ignorance, c'est la force.

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(17 065 réponses, dans Culture & médias)

reblochon a écrit:

Et les exemples, j'en ai donné assez à Alioch

reblochon a écrit:

Des déréglementations dues au néolibéralisme

La déréglementation libérale comme exemple d'une révolution conservatrice, il fallait y penser. C'est pas juste un problème de dictionnaire là : t'es mur pour l’Angsoc !

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(17 065 réponses, dans Culture & médias)

reblochon a écrit:

sauf toi qui tente le passage en force avec le dico

Mais de quoi tu parles ?
Comme d'hab, tu essais de noyer le poisson. Les définitions n'étaient là que comme ultime preuve (mais comme ta mémoire est sélective, tu oublies ce que tu lis au fur et à mesure) qu'il n'y a pas eu de révolution, et surement pas conservatrice, entre 1970 et 1980. Ce terme pour qualifier cette période est une escroquerie intellectuelle. D'ailleurs, je te l'ai déjà demandé, donne moi des exemples importants de victoires de ce conservatisme. Quelque chose qui soit aussi clair et aussi pérenne dans le temps que le mouvement de dérégulation de l'économie mondiale, de libéralisation des mœurs et de la culture  qui sous-tendent nos sociétés aujourd'hui.

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(17 065 réponses, dans Culture & médias)

Les excuses de Papy Reblochon, un spectacle toujours renouvelé !
Après le classique "j'ai pas que ça à faire" interprété par votre homme au foyer préféré, ne ratez pas le nouveau "non mais en fait quelqu'un d'autre a déjà tout dit !" venant de l'expert autoproclamé !

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(17 065 réponses, dans Culture & médias)

larvasse a écrit:

Je dois vraiment mal m'exprimer

C'est surtout qu'il est sourd. Faut répéter plein de fois.
Au bout d'un moment il perd un peu d'attention, comme tous les vieux, et ne répond même plus.
Tu sais alors que tu as gagné.

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

صلاح الدين آكلى لحوم البش a écrit:

Est-ce que, en prenant ta définition, une contre-révolution, en tant qu'elle change brusquement un nouvel ordre établi, est un mouvement révolutionnaire ? Dialectiquement, ça devrait l'être. Donc, pourquoi pas ?

Enfoiré smile
Historiquement, elle définit le mouvement d'opposition à la Révolution française afin de restaurer l'Ancien Régime.
Mais si je vais chercher une définition plus large de celle-ci, ça donne :

Mouvement politique ou social destiné à combattre une révolution, à en ruiner les résultats.

Donc il ne s'agit pas d'un "changement" mais plutôt d'un "retour" vers un ordre antérieur au mouvement révolutionnaire, non ?

Pas merci.

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

reblochon a écrit:

Guy Sorman, La révolution conservatrice américaine

Pour appuyer ton argumentation, tu me cites un auteur libéral revendiqué dont les thèses ridicules voudraient que, depuis 1980, les libéraux sont entrain de perdre face à la "nouvelle pensée unique". Ultra crédible, surtout dans ce thread ou certains de ses plus beaux cacas sont conservés. Un peu de la même façon qu'un Hayek dans son "route vers la servitude" en 1944 voyait dans l'état l'antichambre du totalitarisme. Tiens, on le retrouve comme un des penseurs très influent dans ta "révolution conservatrice".

Comme d'hab, tu n'a pas lu le lien que tu files.

reblochon a écrit:

Je reprends car tu mélanges deux choses.

Je ne mélange rien du tout. C'est toi qui fait exprès de répondre n'importe quoi, n'importe comment à chaque fois. Et quand ça ne suffit pas, tu nous parles de VRAIE vie, de comment les choses là dedans elles sont pas pareilles et elles veulent pas dire la même chose que... dans la FAUSSE vie ? Par exemple :

reblochon a écrit:

Bref, ce n'est pas de moi cette idée de la révolution conservatrice, qui n'est pas tant un oxymore, quand tu permets au conservatisme de prendre le dessus. C'est révolution pas dans le sens d'évolution, mais de bataille politique remportée ! Ils sont pas plus progressistes tes conservateurs, c'est comme dans le (2), les réalités politiques qui ont changé parce que ces gens ont pris le pouvoir ! La révolution marxiste, c'est pas le marxisme qui a été révolutionné, c'est quand il a gagné des combats !

Mais OU TU AS VU que le conservatisme avait pris le dessus dans nos sociétés depuis 1980 au USA, en France, en Chine, en Russie ? Où ?
Du coup, on va faire simple pour que tu arrêtes de tourner autour du pot comme un chien sans laisse :

- Révolution (les définitions viennent du Larousse) :

Changement brusque et violent dans la structure politique et sociale d'un État, qui se produit quand un groupe se révolte contre les autorités en place et prend le pouvoir

Changement brusque, d'ordre économique, moral, culturel, qui se produit dans une société

Je pense qu'on peut s'accorder pour dire qu'on parle plutôt de la seconde définition plutôt que de la première, ou alors les USA d'avant Reagan était une république socialiste.

- Conservatisme :

Attitude ou tendance de quelqu'un, d'un groupe ou d'une société, définie par le refus du changement et la référence sécurisante à des valeurs ou des structures immuables.

Le conservatisme, c'est donc un courant de pensée qui place le refus du changement comme une priorité.

Maintenant, je prend la première phrase du lien wiki qui te fait tant rire :

L'expression révolution conservatrice (au sens moderne) est utilisée le plus souvent pour caractériser la période des années 1980 au cours de laquelle des chefs d'État hostiles au socialisme et souhaitant réduire les interventions de l'État dans la sphère économique et sociale sont élus.

Donc, ce qui caractérise cette prétendue révolution conservatrice, ce serait le fait de réduire le rôle de l'Etat.
Donc, en fait, complètement changer une situation, détruire une "structure" en place. Dans la VRAIE vie, pas dans des bouquins.

Putain, c'est pile ce qu'exige le libéralisme depuis quoi... le XIXe ?
Paye ta révolution !

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

reblochon a écrit:

Donc en gros tu nous dis qu'il n'y a pas d'autres alternatives au libéralisme à court ou moyen terme. Super !

Hein ?
Je n'ai pas dit ça. Les prévisions, c'est bon pour les politiciens et les démographes.

Donc la révolution conservatrice, c'est un fantasme, ça n'a jamais existé ? Ah ! Faudrait prévenir certains de tes collègues qui écrivent sur le sujet.

Les termes forment quand même une belle oxymore.
Du reste, si tu lisais la discussion, tu aurais probablement noté que je donne une piste à ce sujet. Si la libéralisation de l'économie et des mœurs sont selon toi des points d'une "révolution conservatrice" à l'oeuvre, je suppose qu'on est pas prêt de comprendre quoique ce soit au problème.

On a juste fait remarquer que le néolibéralisme, c'est du libéralisme débridé.

Et, répondant à Jako, je pointais du doigt le fait que le libéralisme EST débridé et que cette distinction est factice. Pire encore, elle sert de coupe-feu particulièrement efficace contre la contestation. Quand les révolutionnaires facebook s'indignent de l'ULTRA-libéralisme (dans vingt ans de ça, les Reblochons du monde parleront surement de MÉGA-libéralisme pour expliquer la période qui s'ouvre avec les Subprimes) qu'il faut à tout prix changer, ils ne disent finalement pas autre chose que : «ramenez moi au vieux libéralisme de Keynes avec ses gardes-fous sivouplait".

L'image du chien que tu donnes est typique, d'ailleurs. Comme si, avant 1970, le libéralisme n'avait été ni violent ni dangereux ! Alors que celui-ci était aussi destructeur pour l'homme et pour la planète. Comme l'était d'ailleurs le libéralisme au XIXe siècle pour les travailleurs et les colonies (l'Inde britannique devrait être l'exemple le plus flagrant de l'horreur humaine que peut-être le marché "libre").

Bref, pour sortir de cette ornière géante, il va falloir que les contestataires comprennent qu'ils ne peuvent pas avoir le monde libéral sans l'idéologie qui va avec.
Et ça, c'est pas près d'arriver. Je remet la fin du passage de Castoriadis qui reflète exactement l'impasse dans laquelle nous sommes aujourd'hui :

Cela exigerait évidemment une réorganisation des institutions sociales, des rapports de travail, des rapports économiques, politiques et culturels. Or cette orientation est extrêmement loin de ce que pensent, et peut-être de ce que désirent les humains aujourd’hui."

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(304 réponses, dans Culture & médias)

http://3.bp.blogspot.com/_JNTE73d4IJI/TLq__stjg6I/AAAAAAAAM4s/Y8HzXazym0k/s1600/Attali.jpg

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

thedarkdreamer a écrit:

Haha Niark curé rouge sur son sujet de thèse, c'est un autre niveau de difficulté asile.

Je tente un saut high kick balayette saut high kick :

1) avons nous un exemple historique dun système politico économique permettant l'égalité au sein dune société sans restriction des libertés politiques?

2) peux tu développer la liste des droits et libertés bourgeois qu'il sera nécessaire de restreindre pour sortir du libéralisme?

- Pas à ma connaissance. Mais faudrait définir précisément cette égalité (affichée et réelle) et les restrictions qui en découlent.

- Je ne suis pas certain que restreindre les libertés bourgeoises ait comme conclusion une sortie pratique du libéralisme. L'idéal est si souple conceptuellement... Et ce n'est certainement pas le bon bout par lequel l'imaginer : la tentation de faire paraître le moindre mouvement de sortie de cette idéal politique désastreux étant invariablement ramenée au stalinisme et au goulag. La route est longue et la pente est dure.

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(1 017 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

reblochon a écrit:

Et si le message était tout simplement : « le libéralisme est une merde qui peut s'endurer quand ça ne commence pas à être lâché trop loose ! Donc quand ça reste réglementé et sous le contrôle d'un état fort. » suivit d'un : « et cet état sera sous le contrôle des citoyens qui de part la constitution s'assureront que les lois ne soient pas appliquées contre les intérêts collectifs »

J'ai du relire 4 ou 5 fois la première phrase et je suis toujours pas certain de ce que tu essais de dire.
Tu peux bien croire un truc pareil, si ça t'arranges. Il reste qu'absolument RIEN dans l'histoire récente (post 1945) ne permet de dire que nos sociétés vont dans ce sens.

on s'en branle que plein de gens aient écrit des beaux bouquins et que tu les aies tous lus, je te parle de constats factuels. Les réglementations qui bridaient un minimum le libéralisme sont tombés les uns après les autres depuis 70 et cela explique en grande partie le bordel actuel. Du moins son ampleur. Ce qui ne veut pas dire que si rien n'avait changé nous serions dans un monde magique avec des licornes et des arc-en-ciels, sans guerre et sans famine.

Tiens, ça faisait longtemps le couplet du bouquin et de l'université : qu'es-ce que ça vient faire là ? C'est quand même TOI qui parle de livres, connard !
Souviens-toi :

Reblochon a écrit:

Je pense que si il y a autant de bouquin d'économiste de gauche et de droite sur le sujet, c'est que cela dépasse l'enfumage !

Comme d'hab, tu es à court d'arguments et tu fais une jolie pirouette réalité versus tour d'ivoire/livres/intellectuels.
Sauf que j'ai écrit plus haut qu'il existe bien un différence (notable) entre les deux périodes mais qu'elle ne réside surement pas dans le TYPE de libéralisme appliqué.

En vérité, quand tu fabriques ce genre de distinction plus factices qu'autres choses, tu ressembles étrangement aux communistes loin de l'URSS qui vaticinaient sur le socialisme idéal auxquel il faudrait revenir et le "socialisme réel pas super beau à voir mais quand même tout est pas mauvais vous comprenez ?"

Un historien d'ailleurs ne peut juger d'une période que longtemps après, quand c'est rendu dans des livres d'histoire. Sinon c'est plus un historien, c'est un politicien.

Celle-ci, elle est raide.
En fait, l'Histoire s'appréhende à partir de n'importe quand. C'est même pour ça qu'il existe un courant de réflexion, l'histoire immédiate, qui permet d'éviter qu'elle soit déformée par les politiciens et les hommes de ménage.