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Bon, et sinon, quelqu'un a lu l'Enculé ? Best pitch evar !

Comment savoir ? Ils sont trouvés grâce à l'algorithme perfectionné d'un marclevitron : Que deviens-tu ? ; Un jour peut-être ; Aimons-nous quand même ; Tu es partie…

Levy, à chaque fois il écrit son meilleur roman, comme Nothomb, Pancol, Gavalda, etc.

Je suis persuadé que c'est le genre d'auteurs que tu peux pasticher sans les avoir jamais lus. Tu prends un héros américain, qui vit entre Paris et New York, qui est architecte, cardiologue, romancier, homme d'affaires, qui vit une histoire d'amour « compliquée » : décès, rupture récente, retrouvailles avec une ancienne amante.
Et après tu mitrailles au SVC (sujet-verbe-complément) : « Peter commanda un drink dans le salon du Waldorf Astoria. Après un moment de réflexion, il opta pour un Cosmopolitan. Quand le serveur s'éloigna, il fit tinter les glaçons dans le verre et s'interrogea. Pourquoi Angela avait-elle quitté Paris ? »
Je suppose que ça doit prendre deux ou trois semaines à ses poulets cocos, à vue de nez ça ne dépasse jamais les 250 pages, et c'est en gros caractères pour les vieux et les gens qui ne lisent jamais.
Bon business plan, ce mec a tout compris.

Il n'en fallait pas moins pour claquer les seufs de Miller.

Haha « c'est parce que je suis un robot que tu me respectes pas ? Raciste ! »

Et côté effets spéciaux ?

Le principe du kouign-amann, c'est qu'il n'y a qu'une seule couche. Épaisse et tassée. Il faut imaginer un post de Reblochon sur le 11 septembre condensé en trois lignes. Au beurre.

Le truc qui s'est raconté, c'est que tu fais passer un type avec X kilos de matos pourri, tu le dénonces, et pendant que les douaniers sabrent le champagne sur l'affaire de l'année, c'est là que tu as tout le vrai matos qui passe.
Je n'y connais rien en trafics internationaux, mais je suppose qu'ils font un bête calcul comme dans les supermarchés, et qu'ils savent qu'un pourcentage minime sera perdu à la fin de l'année fiscale, tant pis pour le pauvre type qui aura accepté de convoyer une cargaison parce que c'est la crise, etc.

Alors, tout le monde sait que les vrais patrons viennent du clan [BZH], mais oui, vu le temps d'antenne cumulé comparé au temps de "ouin, je suis infréquentable, personne ne m'invite", on peut dire qu'ils sont chez eux.

Ben chiffonnier, c'est comme s'il avait dit gitan. Gitan n'est pas synonyme de voleur, mais on se comprend *wink*wink*

Je n'ai pas lu Printemps de feu, mais connaissant le personnage, anarchiste depuis le début, ayant toujours soutenu que c'était une dictature, c'est sans doute plus par anti-américanisme (enfin, la détestation d'une certaine Amérique), mais c'est assez génial, aller en vacances en Irak au moment où la guerre risque de tomber, seul et sans journalistes ou escorte armée (suivez mon regard) pour partir à la recherche d'un poète d'un IXe siècle, et en faire un roman, ça c'est un vrai putain d'écrivain.

À Paris les biffins sont les chiffonniers qui revendent dans la rue les trucs qu'ils ont pécho dans les poubelles :