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Ben si. Comme j'ai peur d'une journée avec trop de mistral, où d'une attaque de tuta absoluta sur mes tomates, que sais-je encore.
Cela dit, le terrain est en zone inondable parce situé à proximité d'un ruisseau qui déborde par endroit. Je suis allé consulté les vieux du village et personne n'a jamais vu ce coin sous l'eau.

Ca ne veut pas dire que ça n'arrivera pas mais bon, à ce compte là tu te lances jamais.

Bien sur, l'Allemagne en 1444, c'était évident.

Bien trop aléatoire pour que je me repose là dessus.

Non, beaucoup trop loin pour avoir l'eau du BRL par exemple.
Je garde la possibilité de s'arranger avec les voisins mais pour l'instant, je préfère ne pas compter dessus.

merci Rodo mais j'ai bien précisé qu'il s'agit d'un puits, pas d'un forage. Donc je cherche une pompe de surface, pas immergée.

C'est sympa de ta part Stanouche, et je suis sérieux.
Tu as raison sur un point : se faire aider par les gens du coin. Et c'est déjà en projet, je suis à la recherche d'une source de fumier et de paille.

Si je tombe sur un os au niveau du défrichage (et ça risque, je n'ai pas que de l'herbe à enlever), je ferai appel à des collègues agri avec un broyeur à fléau où un Gyro.

Il s'agit pas de défricher la totalité des 2500m2 d'un coup avec. Mais les poules travaillent bien et toute la journée pour ce genre de taf. elles fertiliseront naturellement le sol et me seront aussi utile quand il s'agira d'épandre le compost : un gros tas au milieu du parcours et tu laisse faire. Avec des parcours mobiles de 50m², je vais faire ça par étape, ce qui me permettra de mettre en culture les zones désherber de manière progressive.

Bon si je trouve une biquette ou deux en plus, je dis pas non.

Pour la sauvagine (renards, etc), c'est effectivement un problème. Difficile de dire mieux que "on verra". Mais comme le poulailler sera en hauteur et sans accès direct la nuit, je m'inquiète moins.

Oyez oyez.

Nous avons trouvé quelque chose.

2500m² sur la commune voisine de mon bled. a peu près à 10 minutes de marche de la maison, 5 à vélo. Un puit (pas encore vérifier le débit), bien arboré sur les cotés, des voisins en viticulture conventionnelle mais pas accolé à la parcelle, pas d'élec, quelques fruitiers (amandiers et grenadiers notamment), des lapins (fait chier...), non clôturé. Situé en zone inondable donc pas de construction (serre).

Le terrain appartient au père à un collègue. Si tout va bien, on va signer un commodat pour une mise à disposition gratuite. On lui filera légumes et fruits quand on sera en production.

concrètement, c'est encore trop peu en terme de surface. Du coup, changement probable système de culture (par ordre d'importance) :

- Poulailler mobile : on va faire de la poule pondeuse en priorité. Elles vont aussi me permettre de désherber le terrain à moindre frais.
- Agroforesterie : plantation de fruitiers dans les parcours des poules
- Petite production de légume.

Bof, l'avantage du plastoc tissé c'est que tu pourras la garder facilement 10 ans (si t'es pas un idiot bien sur). Ça reste du plastique évidemment, mais l'impact entre ça et l'utilisation du glypho y a pas vraiment de débat.

Putaiiiiiin.
Une bache plastique (tissé ou noire, faut juste pas que la lumière puisse passer), tu délimites ton espace et désherber, tu le travaille très rapidement (à la bêche, légèrement, juste pour ouvrir un peu le sol), tu arroses comme un sagouin et tu baches. Tu laisses ça un bon mois (vu les températures en ce moment).

Ça t'éviteras de choper un cancer des couilles où de le filer à tes gamins.

Le tanje qui cite des sites web de jongleurs, on aura tout vu.

Un terrain de pétanque putain. Bon, chacun sa merde évidemment. Les fondations du séchoir me crient poulailler, par exemple.

Sur les photos certaines poutres semblent quand même en bon état et relativement sympa. Franchement dommage qu'on soit si loin, je serais bien venu t'en débarrasser.