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Aux Etats Unis, la directrice et fondatrice d'un des magazines d'investigations les plus réputés du pays, appelé Women Rights, est entendue par la police pour des accusations de viol et d'atteinte à l'intégrité d'un être humain. Elle aurait agressé sexuellement deux fois un jeune stagiaire dans un ascenseur, il y a environ deux semaines. L'accusation a d'autant plus choqué le pays que ce magazine est connu pour ses positions féministes.

Avec notre correspondant à Seattle, Francis Alionovitch

Ce jeune stagiaire était un proche de la famille de la directrice du magazine. Mais si l'on en croit la déclaration de la victime, cela ne semble pas avoir empêché cette journaliste, Lisa Bilts, de le violer dans un ascenseur, à la sortie d'une conférence. Le jeune homme a informé lundi dernier la directrice adjointe de l'hebdomadaire que la directrice avait tenté d'abuser de lui en l'empechant de sortir et en "faisant pression sur (son) sexe". Visiblement choqué, le garçon est actuellement suivi par une équipe médicale.

Ceci a poussé Lisa Bilts à démissionner pour une période trois mois, après s'être excusé par mail pour, reconnaît-elle, « cet incident malheureux contraire à tout ce que nous croyons et défendons ».

Une dizaine de personnes (essentiellement des salariées du journal) s’était rassemblée spontanément hier devant les locaux du journal pour soutenir la directrice dans cette épreuve.

Aujourd'hui, une équipe de police a visionné les enregistrements vidéos pris dans l'ascenseur de l'hôtel et a promis qu'elle ne ferait preuve d'aucune clémence particulière envers cette célèbre journaliste. Si elle est reconnue coupable de viol, Lisa Bilts encourt un minimum de treize ans de prison.

Aux Etats Unis, la directrice et fondatrice d'un des magazines d'investigations les plus réputés du pays, appelé Women Rights, a été formellement accusée par la police de viol et d'atteinte à l'intégrité d'un être humain. Elle aurait agressé sexuellement deux fois une jeune stagiaire dans un ascenseur, il y a environ deux semaines. L'accusation a d'autant plus choqué le pays que ce magazine est connu pour ses positions féministes.

Avec notre correspondant à Seattle, Francis Alionovitch

Cette jeune stagiaire était une proche de la famille de la directrice du magazine. Mais si l'on en croit la déclaration de la victime, cela ne semble pas avoir empêché cette journaliste, Lisa Bilts, de la violer dans un ascenseur, à la sortie d'une conférence. La jeune femme en a informé lundi dernier la directrice adjointe de l'hebdomadaire.

Ceci a poussé Lisa Bilts à démissionner pour une période trois mois, après s'être excusé par mail pour, reconnaît-elle, « cet incident malheureux contraire à tout ce que nous croyons et défendons ».

Aujourd'hui, une équipe de police a visionné les enregistrements vidéos pris dans l'ascenseur de l'hôtel et a promis qu'elle ne ferait preuve d'aucune clémence particulière envers cette célèbre journaliste. Si elle est reconnue coupable de viol, Lisa Bilts encourt un minimum de treize ans de prison.

Mastikator a écrit:

Tiens? Le port de Douarnenez.

Ah, le port de Douarnenez, facilement reconnaissable grâce à ses bateaux et ses parkings à étages.

Binouze a écrit:

Ouais c'est un super calcul ça, d'aller en vacances à un endroit parceque personne n'y va.
Putain mais brûlez

Connaissez vous karosta, en Lettonie? C'est une ancienne base militaire soviétique qui abritait une flotte de sous marins nucléaires, ...