6 051

(1 784 réponses, dans Sport)

reblochon a écrit:
Antipathique. a écrit:

Ca s'appelle faire un commentaire, c'est l'activité de 90% des internautes.

Entre commenter la vidéo, comme tant d'autres et nous expliquer que le PAN c'est le fusil tombant à terre, y a un océan.

reblochon a écrit:
Antipathique. a écrit:

Ca s'appelle faire un commentaire, c'est l'activité de 90% des internautes.

Entre commenter la vidéo, comme tant d'autres et nous expliquer que le PAN c'est le fusil tombant à terre, y a un océan.

A chaque fois avant de poster je regarde mon bracelet en plastique bleu quebec sur mon bras gauche, côté du coeur, et je relis l'inscription "what would reblochon du site de racistes do ??" mais les réponses ne viennent pas, peut-être que j'ai pas assez la foi.

6 052

(17 012 réponses, dans Culture & médias)

صلاح الدين آكلى لحوم البش a écrit:

C'est quand même chaud d'être infirmier ou enseignant et de penser que ton travail est inutile, ça veut dire que le problème est ailleurs.

J'imagine plutôt que c'est un raccourcis genre une part des tâches réalisées sont inutiles, genre du reporting ou de l'administratif, mais j'ai pas lu l'article, le titre étant trop gros...

Dans tous les métiers spécialisés, les taches "hors métiers" sont souvent perçues comme inutiles. Par exemple, les chefs de chantiers n'aiment pas remplir les fiches de non qualité ou les fiches de contrôles (j'ai contrôlé c'était bon pourquoi je l'écrirais ?????) parce qu'ils ont tendances à penser que ça sert à rien (et parfois c'est le cas).

Dans les grosses boites et les grosses administrations, il y a des postes qui servent uniquement à traiter des reportings et qui créent de nouveau reporting à faire par les autres postes pour alimenter leur existence.

6 053

(1 514 réponses, dans Le coin du spoiler)

Je vais télécharger seinfield tiens, pour VOIR. Pour le coup, friends, j'en regarde régulièrement et ça n'a pas vieilli du tout. Ma meuf est en train de se refaire tout E.R. donc les vieux trucs ça nous fait pas peur.

6 054

(1 514 réponses, dans Le coin du spoiler)

Ptain j'allais le télécharger mais là je suis bien refroidi...

Mais bon, j'ai toujours aimé Friends, HMYM par contre j'ai pas vu Seinfield

6 055

(1 784 réponses, dans Sport)

De toute façon c 'est connu que REBLOCHON ne regarde pas les vidéos avant d'envoyer son message, son propos est DONC DIFFAMANT et je vais demander à DARMANIN de porter PLAINTE afin que son commentaire sur mon commentaire soir jugé nul et non avenu.

6 056

(1 784 réponses, dans Sport)

reblochon a écrit:
Antipathique. a écrit:

Le coup est parti quand le fusil est tombé au sol. En tout cas la meuf a l'air bien frappée.

C'est une nouvelle passion de nous décrire les vidéos que l'on vient de regarder ?

Ca s'appelle faire un commentaire, c'est l'activité de 90% des internautes.

6 057

(1 784 réponses, dans Sport)

Le coup est parti quand le fusil est tombé au sol. En tout cas la meuf a l'air bien frappée.

Le soucis c'est que tu charges ta pile avec 25% d'énergie produite par une centrale qui fait 30%, et 25% de 30% c'est pas énorme je crois.

Ressemblant mais moi perso je m'identifie plus à un fox terrier qu'à un poney.

6 060

(3 416 réponses, dans La déconne)

Ca n'a pas que très peu changé au final.

6 061

(225 réponses, dans 60 millions de connards)

Le fond du problème c'est que les français préfèrent chercher dans leur bien être dans des substances au lieu de par exemple le chercher dans LE TRAVAIL ou la VIE DE FAMILLE ou encore en LA FOI EN CHRIST.

6 062

(3 416 réponses, dans La déconne)

Un fait divers TRES GRAVE mais qui vient un peu tôt par rapport au élection je trouve.

Sinon moi quelqu'un à tenté de casser la vitre de ma voiture, j'attends l'article du parisien.

6 063

(225 réponses, dans 60 millions de connards)

Oui puis ça devrait être CBE Cannabis Bien Etre, enfin je sais pas moi

Ils l'ont fait pour le lulz, et ça c'est qu'on attends d'eux.

6 065

(2 260 réponses, dans La déconne)

21 sur même pas 200 participants c'est un score qui bats tous les records, bravo la chine !

Dont deux espoirs de médaille au JO...

6 066

(110 réponses, dans Cuisine)

Ok mais vote populaire car nous sommes en démocratie

6 067

(17 012 réponses, dans Culture & médias)

Déso j'avoue que je mets pas trop de vidéo de TANK quand je suis au bureau, j'aurais peur qu'on crois que je suis radicalisé.

Effectivement, faut arrêter les appels de phare, technique de prolo. Les vrais avaient déjà changé d'itinéraire 2.5km avant quand leur coyote avait sonné.

6 069

(17 012 réponses, dans Culture & médias)

C'est des AMX 10, la blague  du tir en roulant c'est le leclerc.

6 070

(110 réponses, dans Cuisine)

Je me demande comment on peut préférer se flinguer le palais à bouffer des piments et ne plus pouvoir apprécier le vin. Bordel le vin c'est quand même plus important que ces trucs de primitifs qui savent pas conserver leur bouffe.

6 071

(110 réponses, dans Cuisine)

Que font les gens qui ont des énormes pénis ?

6 072

(114 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

Ils étaient occupés à être débiles :

https://www.lemonde.fr/culture/article/ … _3246.html

Dialogue de sourds au théâtre de l’Odéon occupé, qui reste fermé

Stéphane Braunschweig a décidé de ne pas ouvrir au public tant que le lieu reste occupé la nuit par les militants qui, au-delà des revendications pour les intermittents, s’opposent à la réforme de l’assurance-chômage.

Par Laurent Carpentier
Publié aujourd’hui à 09h18, mis à jour à 09h31

Temps de Lecture 4 min.

    Favoris

Partage

Article réservé aux abonnés
Occupation de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, 27 mars 2021.
Occupation de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, 27 mars 2021. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

Stéphane Braunschweig, le directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, nous reçoit sous les cintres, derrière la scène et le décor sur lesquels le rideau ne se lèvera finalement pas. La Ménagerie de verre, de Tennessee Williams, mise en scène par Ivo van Hove, avec Isabelle Huppert, dont la reprise post-pandémie avait pourtant été annoncée dès le mercredi 19 mai, a été annulée jusqu’à nouvel ordre.

La faute aux intermittents et aux militants de la CGT qui occupent le théâtre et refusent de quitter les lieux, plaide le directeur. « Ne nous faites pas porter le chapeau ! », s’étranglent ceux-ci. Ils ont promis de laisser les spectacles avoir lieu, moyennant trois points non négociables : la continuation de l’occupation jour et nuit, garder leur visibilité sur la façade, et une intervention sur scène en préambule des spectacles. Entre la direction et ses occupants, après quinze jours de discussions, mardi 18, la négociation a été rompue.

Assis sur une chaise pliante, épaules tombantes, Stéphane Braunshweig n’en peut visiblement plus : « Je comprends leurs revendications. Je leur ai proposé une occupation diurne, de garder les banderoles sur la façade, de leur céder un lieu qui leur permette d’exister. Lundi, on n’était pas loin de trouver un accord. Mais je ne peux les laisser occuper le théâtre la nuit. C’est aussi simple que ça. Je suis responsable d’un bâtiment public. Il est temps de revenir dans la légalité. »
Deux mois et demi de lutte

Discours inverse sous les arcades du théâtre, où Denis Gravouil, le secrétaire général de la CGT-Spectacle, tient une conférence de presse : « Nous avons fait énormément de concessions pour garantir que le spectacle puisse se tenir sans difficultés. Ce n’est pas nous qui interdisons la représentation. Mais nous savons que si on ne dort pas là, ils enlèveront les banderoles, ils ne nous laisseront pas continuer les forums [que les occupants mènent depuis le balcon avec les sympathisants sur la place du théâtre], nous n’avons plus confiance. » Dialogue de sourds.

    Denis Gravouil, de la CGT-Spectacle : « 11 milliards d’euros pour la culture, 140 millions encore hier, oui, mais aucune de ces aides n’est fléchée vers l’emploi… »

En remontant la rue de l’Odéon, le théâtre offre, depuis le 4 mars, un visage aux relents de révolte utopiste avec ses grandes banderoles dégoulinant de la terrasse. Les « Culture sacrifiée », « Réouverture : la grande comédie », et autres « Soutien au peuple palestinien » y ont remplacé les traditionnels programmes de la saison. Deux mois et demi de lutte.

« On a voulu nous réduire à une demande de réouverture », mais ce n’était là qu’une partie des revendications, explique Denis Gravouil à la petite assemblée – « 11 milliards d’euros pour la culture, 140 millions encore hier, oui, mais aucune de ces aides n’est fléchée vers l’emploi… » –, admettant des victoires en demi-teinte (« Droits des intermittents prolongés, oui, mais que jusqu’en décembre ») pour mieux justifier la nécessité de poursuivre le combat, avec appel à la grève le 22 mai et manifestation qui partira à 13 heures de… l’Odéon pour rejoindre le Louvre. « Nous voulons des droits sociaux pour tous et toutes », martèle celui qui est aussi négociateur assurance-chômage pour la centrale syndicale. Car c’est la nouvelle loi dont l’application est attendue au 1er juillet qui est au cœur désormais du conflit.
Lire aussi Covid-19 : prolongation des aides pour les intermittents du spectacle
« Précarité accrue »

Marc Slyper a 73 ans. Casquette vissée sur la tête et foulard rouge, il participe aux négociations avec la direction. « Au moment de la réouverture, faire comme s’il ne s’était rien passé, ce n’est pas possible. La précarité accrue de toute une partie de la population. Les jeunes, les petits lieux, les petites équipes… Ce sont eux qui ne vont pas résister. » Tromboniste klezmer, ex-responsable du syndicat des musiciens, aujourd’hui en « retraite active », Il était déjà là, lycéen, en 1968, et encore là, en 1992, à occuper.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Au théâtre, des retrouvailles retardées à travers la France

    Stéphane Braunschweig, directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe : « Le vrai bras de fer, aujourd’hui, il est avec le gouvernement, pas avec nous »

Au début de l’année, c’est lui qui a rappelé à ses camarades la force symbolique de l’Odéon. A juste titre : plus de cent théâtres ont été occupés à sa suite. Et s’ils reconnaissent qu’ils sont moins nombreux et moins suivis qu’au début, les occupants de l’Odéon savent qu’en rendre les clefs serait prendre le risque de voir le château de cartes militant s’effondrer. Déjà, la police est intervenue à Toulouse et à Rennes, les grévistes ont levé le camp ici et là…

« Pris en otage, je ne sais pas, mais pris en étau, oui, soupire, amer, Stéphane Braunschweig. Le vrai bras de fer, aujourd’hui, il est avec le gouvernement, pas avec nous. Je ne cherche pas à faire la police. Je n’ai pas envie d’appeler la police. Je suis un artiste. » On sent l’émotion qui perce : « Comment peut-on penser que, moi, j’ai pu vouloir bloquer l’ouverture et la représentation ? Je suis le premier à vouloir jouer. C’est le sens même de mon existence. Je la subis, cette occupation », souligne le directeur qui, dans un texte commun avec Serge Dorny, à l’Opéra de Lyon, Macha Makeïeff, à Marseille, et Muriel Mayette-Holtz, à Nice, a appelé, le 13 mai, à la levée des occupations. « Je ne suis pas là pour faire le service après-vente du gouvernement. Beaucoup de choses ont été données. J’entends que cela puisse paraître insuffisant. Mais ce n’est pas mon sujet. Moi, je veux ouvrir mon théâtre. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Au théâtre de La Criée, à Marseille, une occupation très politique

Laurent Carpentier

6 073

(8 654 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

Ici y'a vraiment pénurie de bois. Tout ça à cause des ces enculés de ricains qui payent 4 fois le prix et vident les producteurs européens, résultat les européens vont se fournir en chine à la place des ricains.

6 074

(308 réponses, dans La déconne)

En même temps les cryptos c'est la pire invention de ce siècle, seule la chine pourra nous en sauver.

6 075

(308 réponses, dans La déconne)

Merci de ne pas faire d'amalgame.