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Bon, je l'ai vu hier... je préfère prévenir avant de donner mon avis : c'est maintenant certain, je n'aime pas le cinéma infatué de Tarantino. Je n'aime pas ses putains de musiques seventies. Je n'aime pas ses références lourdingues au cinéma de la même époque, mais lourdes.

Bon, OK, c'était peut-être une idée originale de faire un western spaghetti sur la seconde guerre mondiale, mais ça manque alors un peu de souffle et de grand angle. Faire une uchronie, c'était pas mal aussi sur le papier, le cinéma manque du genre, mais on sent que certains détails tiennent moins de la réécriture historique que de l'erreur embarrassante (je crois les avoir entendu parler à un moment de Heydrich en 1945), Goebbels est complètement à côté de la plaque, les nazis sont tous sympa, enfin on n'a pas l'impression de voir la guerre quoi. Même les croix gammées n'avaient pas l'air de croix gammées, je sais pas comment l'expliquer.
Les acteurs sont pas tous terribles. Brad Pitt crève l'écran, normal, mais les Français, mon Dieu... À un moment je me suis demandé si le film n'était pas doublé en VF tant leur jeu n'avait aucun relief, dès que Mélanie Laurent surgissait, je savais que j'allais m'emmerder. Le noir, on dirait qu'il est joué par un Ricain, c'est n'importe quoi.
Et il faut dire qu'ils ne sont pas servis par les dialogues, la seule chose que j'ai pu apprécier jusqu'ici dans certains films de Tarantino, à l'exception de quelques bons moments, au premier chef desquels les interrogatoires de Landa, mais là il y a beaucoup de blabla inutile.

Ah, si, le film de propagande nazie est rigolo, mais ce n'est pas Tarantino qui l'a réalisé.

Un cocaïnomane qui ne fume pas et ne boit pas, ça serait quand même une première mondiale...

Ah mais j'adore cet album, « Au creux de ton bras », c'est exceptionnel.

J'imagine qu'il a plutôt des prescriptions d'amphés. En même temps c'est quelqu'un qui dort beaucoup et semble avoir un bon coup de fourchette, ce n'est pas vraiment compatible.
C'est comme Chirac, tout le monde disait qu'il était cocaïnomane, mais c'était impossible, il bouffait trop...

Le problème de Mano Solo, c'est qu'il a tenté l'aventure de l'autoproduction après une grosse période de silence, c'était une mauvaise stratégie commerciale, il était un peu oublié. Effectivement, dans un cas pareil, il te faut une maison de disque pour dégager le budget de production et de communication. S'il avait fait ça au début des années 90, ou à la fin des années 80, à la grande époque des indés français, ça aurait carrément pu marcher.

Reblochon ça fait deux jours qu'il tourne comme un lion en cage, à la recherche de son troll, mais il n'arrive pas vraiment à décoller, c'est le coup de pompe hivernal.

Ah ah ah ah Forklift Klaus
Tous les trucs interdits, mais que tout le monde fait quand même...

Ah ah ah, le pire c'est que les vrais écrivent aussi mal que le bot

Oui, je crois que tous les albums que j'ai cités ici ont déjà été en dégustation dans l'arrière-cuisine.

C'est par-là, il y a le bruit de la foule, j'ai toujours trouvé ça débilissime sur les disques d'electro, mais ça se laisse vite oublier.

Ah putain, le Pulp, c't'endroit mythique... nostalgie nostalgie...

Ce morceau il est ultime, j'aime pas tout l'album non plus, mais dans le genre electro/coldwave il envoie du gros. Par contre, je ne sais pas si t'as écouté le live qu'ils ont sorti juste après, sur le même album mais revisité techno traditionnelle, et il est fabuleux, vraiment énorme dans son classicisme et son énergie.

L'émission où on ne sait pas si c'est le chien ou Victoria, le truc à quatre pattes qui se frotte à la jambe de Christophe D...