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Hin hin hin hin :

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Il y a le concept inverse sinon :

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Vu le prix, tu le prends au même endroit.

Ben la Sciento, c'est une source à éviter parce qu'idéologiquement, l'Église rejette tout ce qui est psychiatrie et santé mentale, alors je doute qu'ils aient des chercheurs chez eux, qu'ils fassent des études sérieuses, etc.

Et si tu vas chercher toutes tes idées là-bas, ça commence à expliquer deux ou trois trucs, parce que cet organisme est essentiellement un réservoir à recrutements pour l'Église, il n'y a pas plus manipulateur et menteur.

Là t'en as des tonnes de donnée statistiques et des études : !url!

Oui, oui, je disais bien ça, on ne se prostitue pas pour un verre, mais quelqu'un d'intoxiqué à l'alcool peut être violent, un héroïnomane, non — il pique du nez. Il y a un extrême, et il y a l'autre.
Le crack, tu rentres facilement dedans (quand t'en as, tu tapes, tu tapes, tu tapes jusqu'à ce que t'en aies plus, même si ce n'est pas terrible comme effet), mais ça s'arrête plus facilement que l'alcool pour peu que tu déménages de ton quartier pourri où on t'en propose tous les dix mètres — c'est là tout le problème en fait, ça et le fait que ça soit pas cher. Après j'ai vu des cocaïnomanes passer à la cocaïne base (c'est largement plus fort que le crack), et j'ai vu des potes craquer mille ou mille cinq cents euros en deux jours, mais pas ramper. Après ils vont taper tous leurs potes pour avoir de la coke ou du fric, mais ils l'ont dans l'os et ils sont bien obligés d'arrêter, une fois que la descente elle est passée ça va. Enfin ils ont plus de thunes quoi.

Un lit à ce prix-là, tu ne te masturbes pas dedans, tu ne laisses pas monter une gonzesse qui a ses règles, et les petits déjeuners du dimanche, tu les fais dans la cuisine, c'est génial.

Après, oui, je suppose qu'on ne se prostitue pas pour un verre, mais coller une bouteille dans la gueule d'un mec et lui crever un œil, c'est un truc que les gens font quand ils ont bu, pas quand ils ont consommé de l'héroïne ou de l'extasy, il n'y a même pas besoin d'être dépendant pour ça, et ça arrive tous les week-end en France. Alors les effets et les extrêmes...

Après je suis d'accord, seul le lobbying sauve les buveurs, mais ça ne justifie pas que l'on interdise le reste parce que le reste ne rapporte pas d'argent. Une dépénalisation, c'est aussi une meilleure visibilité des consommateurs, moins de risques sanitaires, et pas nécessairement plus d'usagers.

C'est une mesure statistique, pas empirique justement, c'est comme la demie-vie d'un atome.

Pour la qualité des produits de coupe, c'est un problème effectivement préoccupant, c'est pour cela qu'avant que le gouvernement l'interdise pour faire chier le monde, les associations pratiquaient le testing.

Je parlais aussi de la toxicité aigüe de l'alcool — et de la possibilité de faire des overdoses alcooliques mortelles, mais ce n'est pas le plus important.
Elle est connue la toxicité chronique à long terme de l'alcool : cirrhoses, hépatites alcooliques, cancers, delirium tremens... c'est de ça dont tu parlais ?

D'où pour moi la nécessité d'une dépénalisation adaptée aux nouveaux usages.

Ce sont deux trucs différents, un vocodeur génère de la synthèse, l'auto-tune change le pitch pour corriger les fausses notes, mais quand on fout les paramètres à fond, ça rend ce son bizarre que les pourvoyeurs de soupe adorent coller partout.