Nan mais moi tant qu'ils font ça en privé ça me dérange pas hein.
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Le Vrai Asile » Messages de Antipathique.
Nan mais moi tant qu'ils font ça en privé ça me dérange pas hein.
La responsabilité de la police est évidente. ACAB, macron démission, etc.
C'est le mec qui est dans la tombe, mais fait ce que tu veux.
Antipathique. a écrit:Ce reportage est effectivement édifiant et à méditer. Au lieu de parler du voile ou de bismuth, il faudrait dans cette ordre :
- interdire les néo mécouilloïde et voir le prix du sucre de betterave croitre ainsi que les produits sucrés.
- Interdire la vente des sodas aux mineurs, imposer l'emballage neutre et le nutriscore
- Imposer le nutriscore sur tous les produits transformés (comme dans je sais plus quel pays d'amérique du sud)
- expliquer que le sucre = les gros = les diabète = les pauvres et donc que sans sucre on est sveltes, en bonne santé et richeUn vrai post de gauchiste, quoique ça manque un peu de taxe.
Effectivement j'ai oublié la taxe sur le sucre dans les produits transformés.
Mais j'ai les moyen de payer mon nuttela 20€ le kilo.
Ce reportage est effectivement édifiant et à méditer. Au lieu de parler du voile ou de bismuth, il faudrait dans cette ordre :
- interdire les néo mécouilloïde et voir le prix du sucre de betterave croitre ainsi que les produits sucrés.
- Interdire la vente des sodas aux mineurs, imposer l'emballage neutre et le nutriscore
- Imposer le nutriscore sur tous les produits transformés (comme dans je sais plus quel pays d'amérique du sud)
- expliquer que le sucre = les gros = les diabète = les pauvres et donc que sans sucre on est sveltes, en bonne santé et riche
Une balance de cuisine ou un pèse personne ?
Aucun chanson potable de gainsbourg n'a survécu jusqu'à moi. Et sa gueule d'alcoolique SDF m'a jamais donné envie de l'aimer.
J'ai le cloud X et j'en suis content.
C'est un partner.
Elle mine du BTC a ton insu !
Pourtant il dit qu'il faut faire comme taiwan.
Niark² démasqué :
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 … _3232.html
« La stratégie zéro Covid a montré sa supériorité sur les plans sanitaire et économique »
TribunePhilippe Aghion
Economiste, professeur au Collège de France
Patrick Artus
Chef économiste de la banque Natixis
Les pays ayant appliqué le « tester, tracer, isoler » ont enrayé la circulation du Covid-19, et ceux qui, comme la France, ont choisi le « stop and go », n’y arrivent pas, notent les économistes Philippe Aghion et Patrick Artus.
Publié le 24 février 2021 à 06h15 - Mis à jour le 24 février 2021 à 17h36 Temps de Lecture 4 min.
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Tribune. Il y a un très large consensus en France aujourd’hui pour considérer que le président de la République a pris la bonne décision, le 29 janvier 2021, celle de ne pas reconfiner pour le moment. Cette décision se justifiait notamment par l’évidence de coûts sociaux et psychologiques considérables, induits par le premier confinement, en particulier sur les jeunes générations et les ménages les plus défavorisés.
D’un autre côté, certains évoquent la possibilité que des variants apparaissent sans cesse, qui résisteraient aux vaccins couramment administrés (Olivier Blanchard et Jean Pisani-Ferry « Persistent Covid : A (Grim)Scenario », Mimeo, Peterson Institute). Comment réagir face à une telle éventualité ?
Coût économique du « stop and go »Une première réponse est celle du « stop and go » : lorsque le nombre de cas devient élevé, des mesures restrictives (couvre-feu, puis confinement) sont imposées ; lorsque le nombre de cas est redevenu faible, ces mesures sont levées, en conséquence de quoi, après un certain temps, le nombre de cas remonte et les mesures restrictives sont de nouveau imposées. Dans une tribune précédente, parue dans Le Monde, le 5 novembre 2020, nous avons souligné les coûts économiques d’une telle stratégie : en un mot, cela condamnerait nos entreprises à adopter une attitude de survie au lieu d’investir dans l’innovation et les bons emplois qualifiants, avec des conséquences très négatives à long terme sur la croissance, l’emploi et la mobilité sociale.
Une seconde réponse est celle de la stratégie zéro Covid. De fait, plusieurs pays ont déjà adopté cette stratégie : confinement initial très strict, amenant le nombre de cas de Covid-19 à un chiffre très faible, puis capacité à « tester, tracer, isoler » le petit nombre de cas qui réapparaîtraient, ce qui implique le suivi des déplacements de la population, des règles strictes d’isolement des malades et des cas contacts, des reconfinements locaux très stricts en cas de réapparition de cas. On peut considérer que la Chine, l’Australie, le Cambodge, l’Islande, la Nouvelle-Zélande, Taïwan, le Vietnam, le Japon, la Corée, le Laos, la Thaïlande, ont suivi cette stratégie.
« Au total, les pays zéro Covid ont gagné 10 points de PIB par rapport à l’Europe »
La stratégie zéro Covid a montré sa supériorité sur le plan sanitaire. Pour l’ensemble des pays qui l’ont adoptée, le nombre maximal de cas quotidiens a été de 7 000 ; il a été de 350 000 pour l’Europe (zone euro, Royaume-Uni, Suède, Danemark). Le nombre total de morts dues au Covid-19 est de 20 000 dans les pays zéro Covid, de 750 000 en Europe.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : comment une traque méthodique et intrusive a permis à la Corée du Sud de maîtriser le virusIl en va de même sur le plan économique. Dès avril 2020, dans ces pays, le secteur des services, qui est le plus touché par les restrictions sanitaires, est repassé fortement en croissance positive, alors qu’il est toujours en récession en Europe. Toujours dans ces mêmes pays, à la fin de 2020, le niveau du produit intérieur brut (PIB) est revenu à celui du 4e trimestre 2019 ; en Europe, il est inférieur de 6 points à celui-ci. En 2021, en moyenne annuelle, le PIB sera dans les pays zéro Covid de 6,2 points supérieur à son niveau de 2019 ; en Europe, il sera de 3,4 points inférieur. Au total, ces pays ont gagné 10 points de PIB par rapport à l’Europe.
Le message est donc qu’il n’y a pas de conflit entre sanitaire et économie, ce qui rejoint les conclusions d’une étude montrant que « seuls les Etats américains qui n’ont rouvert leur économie qu’après une baisse suffisante de la circulation du virus ont réussi a la relancer durablement », selon l’économiste Mathias Dewatripont, dans une tribune au Monde, le 13 novembre 2020.
Pourquoi alors l’Europe a-t-elle choisi la stratégie du « stop and go » ? La première explication peut être « technique » : l’insuffisance des tests disponibles, le logiciel de traçage pas encore au point. Mais si cette explication est pertinente pour le printemps 2020, après le premier confinement, elle ne l’est plus à la fin de 2020 et au début de 2021, où ces problèmes techniques ont été réglés.
Conception européenne des libertés individuellesLa seconde explication peut être que l’Europe a basé sa stratégie sur le vaccin et pas sur la forte réduction du nombre de cas. Mais l’immunité collective avec le vaccin ne sera pas atteinte avant l’automne 2021, et peut-être faudra-t-il revacciner continuellement les populations déjà vaccinées. Cette stratégie conduit à une forte persistance de la crise et au freinage de l’économie.
Enfin, la troisième explication est que la stratégie zéro Covid semble incompatible avec la conception européenne des libertés individuelles, qui rejette par exemple la localisation des personnes, l’isolation stricte des cas contacts. Mais croit-on que la stratégie du « stop and go » de l’Europe, avec la fermeture de la culture, des restaurants, les couvre-feux, les confinements, l’impossibilité de retrouver sa famille ou ses amis, est moins attentatoire aux libertés que la stratégie zéro Covid ?
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les libertés publiques à l’épreuve du coronavirusEn Allemagne s’est mis en place un groupe de réflexion sur la stratégie zéro Covid, composé d’économistes et d’épidémiologistes qui interagit en continu avec la chancellerie. Si le scénario des variants à répétition se confirme, et s’il amène nos voisins à s’orienter vers une stratégie zéro Covid, il faudra alors sérieusement se demander si la France ne doit pas également passer à cette stratégie, pour pouvoir libérer l’économie avant qu’une vaccination à l’échelle mondiale ne le permette.
Philippe Aghion est professeur au Collège de France, titulaire de la chaire Economie des institutions, de l’innovation et de la croissance ; Patrick Artus est chef économiste de la banque Natixis, membre du Cercle des économistes.
Il y a vraiment des gens pour acheter ces merdes autres que des marchands de sommeil ?
Une chaine pour avoir les mains bien bien moites.
Niark, que penses-tu des nouvelles pompes du major gérald où on lève un peu les mains ? J'ai essayé et c'est dur sa race en fait.
J'y vais en me levant à 6h, juste pour 15 minutes. Sinon c'est deux sorties longues, une un soir de 1h30, et le 1h30-2h le dimanche matin.
Le reste du temps je travaille ou je joue aux jeux vidéo comme un mongole.
Le principe c'est de pas aller boire, en fait. Ni dedans, ni dehors.
Du beau travail d'auvergnat.
Conclusion, le problème du covid, c'est que notre système hospitalier est pourris et qu'on peut pas gérer les vieux qui seraient morts de toute façon 6 mois après et le reste des vivants en même temps.
Maintenant, je sais pas pourquoi on avait déjà des cas en novembre 2019 et pas à Taiwan, j'ai pas la solution.
« La crainte engendrée par le Covid-19 semble en relation inverse de sa létalité »
TribuneHervé Le Bras
directeur d’études à l’Institut national d’études démographiques
Chiffres à l’appui, le démographe Hervé Le Bras examine les conséquences de l’épidémie sur les statistiques de mortalité et d’espérance de vie. Ses calculs nuancent la gravité de l’épidémie.
Publié le 09 février 2021 à 05h22 - Mis à jour le 09 février 2021 à 20h44 Temps de Lecture 5 min.
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Tribune. En 2020, le nombre des décès a augmenté de 7,3 % en France. Les personnes les plus âgées ont été particulièrement frappées par l’épidémie de Covid-19. Selon l’Insee, au cours de la deuxième vague, la mortalité a augmenté de 19 % entre septembre 2020 et janvier 2021, pour celles qui sont âgées de plus de 75 ans.
Selon Santé publique France, le site officiel du ministère, de la mi-mars 2020 à la mi-janvier 2021, 59 % des personnes décédées pour cause de Covid-19 étaient âgées de plus de 80 ans alors que cette classe d’âge ne représente que 6 % de la population totale. Ces données ont pesé dans les décisions prises par le gouvernement pour combattre l’épidémie.
Ces chiffres ne prennent cependant de la valeur que lorsqu’on les compare à d’autres données. Prenons par exemple ce pourcentage de 59 % et comparons-le à celui de la mortalité habituelle. Cela est possible grâce à la répartition des décès par âge publiée par l’Insee. En 2018, dernière année disponible, 61 % d’entre eux provenaient de personnes de plus de 80 ans, soit, à 2 % près, la proportion des personnes âgées parmi les décédés du Covid-19 qui vient d’être citée. Le Covid-19 ne discrimine donc pas plus les personnes âgées que ne le font les causes habituelles de mortalité en son absence.
Causes culturellesOn peut penser que ce constat contre-intuitif résulte des mesures prises par le gouvernement pour protéger les personnes âgées. Pour le vérifier, il faudrait comparer la situation française réelle à un groupe contrôle où aucune mesure n’aurait été prise, mais cela est impossible car aucune partie du territoire national n’a été dispensée de ces mesures.
Le seul moyen disponible consiste à étudier le comportement de pays proches. Deux groupes de pays apparaissent : en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Suède, au Danemark et aux Pays-Bas, la proportion de personnes âgées de plus de 80 ans décédées du Covid-19 excède de plus de dix points celle des décès de cette même classe d’âge en période hors épidémie.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi La pandémie de Covid-19 creuse le fossé en Europe, entre le Sud dépendant du tourisme et le NordInversement, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, les deux proportions sont voisines, à l’instar de la France. Les politiques de lutte contre l’épidémie menées dans les pays de chacun des deux groupes ont été tellement différentes qu’on ne peut pas déceler lesquelles auraient été plus favorables que d’autres aux personnes âgées.
La liste des pays dans les deux groupes suggère plutôt des causes culturelles. Les pays où les personnes âgées ont été plus atteintes que d’habitude ont en commun des rapports familiaux plus fréquents entre générations. L’Allemagne, la Suisse, l’Autriche, la Suède, le Danemark et les Pays-Bas sont caractérisés par la « famille souche » où trois générations cohabitaient autrefois. Dans les pays où la mortalité des personnes âgées est demeurée à sa proportion habituelle, les rapports familiaux se concentrent traditionnellement au sein des familles « nucléaires » limitées à une ou deux générations. Or, la propagation de l’épidémie est fonction de la fréquence des contacts interpersonnels, en particulier entre générations.
« Seulement » six mois et demi en moinsMême si la surmortalité des personnes âgées n’est pas caractéristique de l’épidémie en France, la hausse générale de la mortalité causée par le Covid-19 reste inquiétante.
A titre de repère, lors de deux des trois épidémies de choléra du XIXe siècle, la mortalité annuelle avait augmenté de 16 %. Les 7,3 % d’augmentation constatés en 2020 sont encore au-dessous, mais au train où l’épidémie pourrait se poursuivre, ils pourraient s’en rapprocher.
On en déduit souvent que l’espérance de vie va chuter dans une proportion analogue à celle de la hausse de la mortalité. Ce n’est pas le cas. En 2020, les 7,3 % de décès supplémentaires ont entraîné seulement une baisse de 0,55 an, soit six mois et demi. Ce sera le recul le plus important depuis la Libération, mais un recul modeste quand on le compare aux vingt ans d’augmentation de l’espérance de vie depuis 1946.
Lire aussi : l’excès de mortalité en 2020 en sept graphiquesComment 7,3 % de décès supplémentaires entraînent-ils seulement 0,7 % de baisse de l’espérance de vie (0,55 an sur 82,5 ans) ? Cela est dû au niveau élevé des risques annuels de décès des personnes âgées auxquelles il reste donc peu d’années à vivre.
A 15 ans, le risque annuel de mortalité est de un pour 10 000. A 88 ans, il est de un pour dix, soit mille fois plus. A partir de l’âge de 50 ans, la hausse du risque annuel de décès est rapide et régulière, au rythme d’un accroissement de 12 % d’un âge au suivant. Les 7,3 % d’augmentation des décès en 2020 ne représentent donc que 60 % (12 % divisé par 7,3 %) de l’accroissement des risques de décès d’un âge au suivant.
Plus un risque est faible, plus il fait peurAutrement dit, la conséquence de l’épidémie de Covid-19 aura été de décaler de 0,6 année vers les âges plus jeunes les risques de décès, donc de faire perdre 0,6 année à l’espérance de vie. Par exemple, le risque de décès d’une personne âgée de 75 ans est devenu le même que celui d’une personne de 75,6 ans quand le Covid-19 ne sévissait pas.
Il est douteux que ce changement soit perceptible, étant donné toutes les autres causes de variation de la mortalité, que ce soit la condition svt, l’environnement, la classe sociale et, il ne faut pas l’oublier, le sexe (l’espérance de vie des femmes est encore supérieure à celle des hommes de 5,9 %, selon l’ Insee).
Jusqu’ici, on a raisonné en moyenne sans tenir compte de l’observation de l’Insee sur les quatre derniers mois, rappelée au début, selon laquelle l’augmentation de la mortalité de 16 % en moyenne s’est élevée à 19 % au-delà de 75 ans (elle a été de 13 % entre 65 et 74 ans et faible en deçà). Dans le détail, cela signifie que les risques de mortalité ont à peine varié jusqu’à 65 ans. De 65 à 74 ans, au lieu de 0,6 an de décalage, il faut en compter les 13/16es, soit 0,5 an et, après 75 ans, les 19/16es, soit 0,7 an. Le risque de décès couru par une personne de 82 ans l’an passé a donc été le même que celui d’une personne de 82,7 ans en l’absence de l’épidémie de Covid-19, ce qui ne modifie pas les ordres de grandeur déjà fournis.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi « La peur de la mort remet aux commandes le principe de sécurité contre le principe de liberté »Ces calculs nuancent la gravité de l’épidémie. Ils aboutissent à un paradoxe : la crainte engendrée par le virus semble en relation inverse de sa létalité. Mais on sait que plus un risque est faible, plus il peut faire peur car plus il semble injuste à celui qui est frappé alors que presque tous les autres en sortent indemnes. C’est l’une des raisons de la vogue du principe de précaution.
Hervé Le Bras est historien et démographe, directeur d’études à l’EHESS, directeur de recherche émérite à l’INED. Il a dirigé le Laboratoire de démographie historique (CNRS) et publié une soixantaine d’ouvrages dont « Naissance de la mortalité » (2000, Gallimard).
Charlie et lulu se séparent ?
T'as trop de temps libre c'est pas possible, rien que l'idée d'y passer plus de 20s en même temps que je me brosse les dents me fait désespérer.
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