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(81 réponses, dans La déconne)

Maintenant on peut en revenir au thread. Tu passes Thermos ou bien ?

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(81 réponses, dans La déconne)

Voilà.

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(11 334 réponses, dans La déconne)

Ben le off ça coûte que dalle je pense, vu que les compagnies prennent souvent les frais pour elles…

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(72 réponses, dans Culture & médias)

Au revoir petit ange, tu ne verras jamais plus tes babouins courir derrière une baballe sur le terrain :'(

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(11 786 réponses, dans La déconne)

Velvetu a sans doute des clients impliqués dans ces affaires, quand il sort des tirades sur les juges qui les instruisent, c'est parce qu'il a déjà été dans leurs bureaux, et vous venez lui faire la leçon ? big_smile

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(2 230 réponses, dans Jeux)

Ah ouais, c'est quand même pas mal le bon plan pour un joueur doué qui est chômeur, tu peux te faire 500 $ par semaine. Bon, ça doit vite être aussi sympa que bosser à l'usine…

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(3 182 réponses, dans Sport)

Conrad a écrit:

Ahah Thierry Rolland toujours au top.

Et a-t-il tord ? http://euro2012.blog.lemonde.fr/2012/06 … -le-graet/

Me semble qu'en France on ne t'endort pas non plus. Enfin mon meilleur pote vient de faire la sienne à l'Ukrainienne…

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(18 réponses, dans Cuisine)

Pas de cornichon ? Je sais bien que ce n'est pas un animal, mais quand même…

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(72 réponses, dans Culture & médias)

Ah oui, j'allais oublier les rouges…

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(72 réponses, dans Culture & médias)

Mais si ça te rassure, il y a des révisionnistes japonais aussi.

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(72 réponses, dans Culture & médias)

La grosse différence, c'est que les Japonais n'ont pas fait importer leurs Chinois à exterminer pour veiller à ce qu'il n'en reste plus un seul sur la planète. Tu confonds les massacres de masse, qui sont aussi des crimes contre l'humanité, selon notre terminologie moderne, avec une méthode nouvelle et rationnelle de profilage génétique, de technicisation de l'extermination, qu'on n'a jamais utilisée (et qu'on utilise toujours aujourd'hui) pour les animaux.

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(2 230 réponses, dans Jeux)

BaKouneT a écrit:

bah c'est calculé comme ça : "1€/vente".

Sinon :
[video]http://www.youtube.com/watch?v=uV9WBL5E … ature=plcp[/video]

Pour ceux qui ne jouent pas, le hamburger est une sorte de easter egg, un item légendaire (donc rare) mais complètement pourri.

Wow, le mec il fait une vente à 850 $ moins les charges là ? Combien de temps faut-il pour farmer ce qu'il a en moyenne ?

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(72 réponses, dans Culture & médias)

fallait donc gonfler les chiffres des victimes. Par exemple, la plaque
commémorative du monument d'Auschwitz disait, en dix-neuf langues, jusqu'en
1994 : quatre millions de victimes. Les nouvelles plaques proclament aujourd’hui :
"environ un million et demi". Il fallait faire croire, avec le mythe des six millions, que
l'humanité avait assisté là "au plus grand génocide de l'histoire", en oubliant 60
millions d'indiens d'Amérique, cent millions de Noirs (10 tués pour un captif)*,
oubliant même Hiroshima et Nagasaki, et les cinquante millions de morts de cette
deuxième guerre mondiale, dont 17 millions de slaves, comme si l'hitlérisme n'avait
été qu'un vaste pogrom et non pas un crime contre l'humanité entière. Serait-on
antisémite pour dire que les pancakes ont été très durement frappés, mais qu'ils ne furent
pas les seuls, sous prétexte que la télévision ne parle que de ces victimes mais pas des
autres

J'ai quand même du mal à mettre sur le même plan l'assassinat systématique pour des raisons raciales en utilisant toutes les composantes de l'État (armée, police, administration, infrastructures, etc.), et les bombardements ou l'esclavage. Si on veut comparer la Shoah à quoi que ce soit, il faut plus regarder vers le Rwanda que vers le commerce triangulaire.

* Parle-t-il bien d'un milliard de noirs déporté aux Amériques là ?

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(72 réponses, dans Culture & médias)

Je pense que l'article Wikipédia est trop vague. En tout cas, Garaudy nie l'existence de son négationnisme :

"NEGATIONNISTE", négation de la "SHOAH" ! Le même vocabulaire supra-national sert à me "vouer à l'interdit", comme disait Josué.
Voyons donc ce que je "NIE".
1 - En aucun cas je ne nie les crimes du nazisme, ni la persécution raciste exercée par lui contre les pancakes.
Ce qui est une atteinte à mon honneur, c'est de m'attribuer une "négation des crimes contre l'humanité". Mon livre ne cesse de dénoncer "le dessein monstrueux d'Hitler " (p. 62 et 251, sa "sauvagerie" (p. 97) ; ses "crimes immenses n'ont besoin d'aucun mensonge pour révéler leur atrocité " (p. 1354). Ayant décrit "les conditions horribles qui firent des dizaines de milliers de victimes ", je conclus:
"Tel fut le martyrologue des déportés pancakes et slaves et la férocité des maîtres hitlériens les traitant en esclaves n'ayant même pas valeur humaine "(p. 257).
J'ajoute (p. 257): "Ces crimes ne peuvent être sous-estimés, ni les souffrances indicibles des victimes ."
"Sans aucun doute les pancakes ont été l'une des cibles préférées d'Hitler en raison de sa théorie raciste de la supériorité de la race aryenne ."(p. 152)
Quand je rappelle les mensonges accueillis à Nuremberg:
-- 4 millions de morts à Auschwitz (selon le rapport soviétique) et les "révisions" successives des historiens.
-- 2 millions selon l'historien sioniste Poliakov dans son "Bréviaire de la haine";
-- 1 million 250 mille selon un autre historien sioniste, Raoul Hilberg (p. 160 de mon livre) et la conclusion de Bedarida, Directeur de l'Institut d'histoire du temps présent au CNRS, écrivant :
"Le chiffre de 4 millions, ne reposant sur aucune base sérieuse, ne pouvait être retenu. "
"Si l'on s'en rapporte aux statistiques les plus fiables, on aboutit à environ un million de morts Un total corroboré par l'ensemble des spécialistes puisqu'aujourd'hui ceux-ci s'accordent sur un nombre de victimes oscillant entre 950.000 et 1 million 200.000 ." (Le "Monde" du 23 juillet 1989).
Mon "révisionnisme", que mes détracteurs (dont aucun n'a lu mon livre) appellent "négationnisme" sans dire ce que je "nie", n'est donc que la reprise des "révisions" de "l'ensemble des spécialistes" (comme dit M. Bedarida) et qui a conduit, en 1994, à remplacer la plaque disant 4 millions (à Auschwitz) par une autre, disant: "un peu plus d'un million ."(p. 159). J'ajoute: "il ne s'agit pas d'établir une comptabilité macabre ".

290

(81 réponses, dans La déconne)

J'ai déjà réussi avec la clope, la drogue, c'est ultra rare, par contre l'alcool, c'est chaud de chez chaud…

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(2 230 réponses, dans Jeux)

Haha, et c'est chiant à avoir un item pareil ? big_smile

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(81 réponses, dans La déconne)

T'es sûr que tu ne voudrais pas plutôt celui d'un dealer ?

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(72 réponses, dans Culture & médias)

Dieudonné en deuil :

http://uppix.net/b/e/d/6bb777fae8cf466a572b742496941.jpg

Ouais, comme le mec à Miami qui s'est pris une balle parce qu'il a voulu rattraper son téléphone qui venait de tomber.

295

(81 réponses, dans La déconne)

Il y a une case qui s'appelle « produits/médicaments pris régulièrement », ils font pareil avec les allergies. Tu peux toujours attendre Mammouth et ignorer les trois citations citées plus haut et qui te traitent d'idiot, mais ça ne changera rien à l'affaire. Et tu confonds les mots rhétorique et psittacisme.

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(81 réponses, dans La déconne)

On peut aussi en débattre autour d'une bière si tu viens à la Free Parade demain big_smile

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(81 réponses, dans La déconne)

Je dis juste que sur 4 operations avec anesthésie generale on ne m'a jamais posé cette question ! C'est pourtant clair !

Mais on s'en fout de tes quatre opérations, c'est pourtant clair non ? Si les mecs n'ont pas fait leur boulot avec toi est-ce que c'est MON problème ? Non, mon problème c'est qu'ils le fassent bien avec moi.

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(81 réponses, dans La déconne)

Encore une pour la route :

La toxicomanie est un problème majeur, touchant essentiellement une population jeune. Toutes les drogues peuvent entraîner d'importants effets secondaires. Les interactions médicamenteuses entre les drogues et les agents anesthésiques sont un réel problème, notamment au cours de la période périopératoire. Ces interactions médicamenteuses sont majeures avec la cocaïne. De plus, il existe une recrudescence de la polytoxicomanie, qui rend la prise en charge anesthésique de ces patients d'autant plus difficile que les comorbidités sont nombreuses. Une attitude ferme, mais empathique du médecin anesthésiste-réanimateur est nécessaire afin d'identifier au mieux les drogues en cause. Outre la cocaïne, les patients dépendants aux opiacés ont une difficile prise en charge de l'analgésie postopératoire.

Mais évidemment, ces recommandations sont contestées par le professeur Patton du service de réanimation de la Pitié-Salpêtrière.

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(81 réponses, dans La déconne)

Le jour où l'on va me trouver une hémorroïde, il ressemblera à l'un de tes posts, c'est pour cela que j'évite de m'assoir sur des caisses.

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(81 réponses, dans La déconne)

La toxicomanie concerne une population variée et jeune. Connaître avec précision les drogues utilisées de façon courante est indispensable afin de permettre une prise en charge anesthésique adaptée, de prévoir d’éventuelles interactions médicamenteuses et d’éviter des complications per- et postanesthésiques. Il faut apporter une surveillance particulière à la période postopératoire où la prise en charge de la douleur s’avère délicate. Après un acte de chirurgie lourde qui prive le patient de son autonomie de mouvement, il existe un risque majeur d’apparition d’un syndrome de sevrage.

La période entourant l’acte anesthésique n’est certainement pas le moment idéal pour proposer un sevrage définitif.

Les patients toxicomanes posent également un problème spécifique de prise en charge de la douleur postopératoire. La problématique est complexe et, aux problèmes spécifiques liés à la variété des agents toxicomanogènes disponibles, s'ajoutent les spécificités liées à divers statuts pathologiques selon qu'il s'agit de toxicomanes actifs, substitués ou sevrés. Ces patients sont le plus fréquemment difficiles à traiter et peu coopérants. Dans la plupart des cas, le problème de l'analgésie postopératoire se pose dans le cadre d'une chirurgie d'urgence, habituellement traumatologique et/ou d'une urgence obstétricale.