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Avec la sélection naturelle c'est une question de générations. On voit l'exemple avec les insectes résistants aux insecticides.

https://www.lemonde.fr/economie-mondial … 56941.html

Bientôt les OGM dans ton assiette pour sauver BMW. Merci qui?

auraient voulu inclure les produits agricoles dans l’objectif zéro droit de douane. M. Juncker a fait savoir qu’il n’avait pas de mandat des Vingt-Huit et il a laissé entendre que, dans ce cas, les Européens exigeraient la fin du « Buy American Act », vache sacrée aux Etats-Unis, qui protège les entreprises du pays dans l’attribution des marchés publics.

Aenema a écrit:

C'est génial on en est arrivé à un stade où même les gens qui sont du même bord n'arrivent plus à se mettre d'accord, dans ce cas sur ce qui est raciste ou non, mais dernièrement sur ce qui est sexiste ou non, avec le cas de la FIFA qui disait avoir fait passer la consigne de ne plus mettre de plans trop insistants sur les jolies femmes dans le stade.

Ça fait malheureusement un moment. Ces gens-là ont torpillé la gauche qui est maintenant divisée. Dans le camp d'en face, en revanche, tout le monde est d'accord.

After the 2016 election, Columbia University professor Mark Lilla wrote a New York Times essay, “The End of Identity Liberalism,” making an argument similar to Araud’s (a piece that also follows a long tradition of liberal hand-wringing about identity in the US). In the piece, Lilla even cited his time taking a sabbatical in France as formative of his opinions on this subject.

American liberalism’s emphasis on identity and difference, Lilla argues, is destroying the foundations of democracy in the country — helping the far right in precisely the way that Araud says:

The standard liberal [view]for nearly a generation now has been that we should become aware of and “celebrate” our differences. Which is a splendid principle of moral pedagogy — but disastrous as a foundation for democratic politics in our ideological age. In recent years American liberalism has slipped into a kind of moral panic about racial, gender and sexual identity that has distorted liberalism’s message and prevented it from becoming a unifying force capable of governing.
Lilla proposed replacing “identity politics” with a “post-identity liberalism,” one that speaks “to Americans as Americans ... a nation of citizens who are in this together and must help one another.” His proposal, in short, is to Frenchify American liberalism.

Je trouve ça pas mal pour éditer une image à l'arrache